Type de spectacle : Mise en espace
La Chasse au lapin
C’est l’école qui lui a donné envie de parler. C’est l’école qui lui a donné envie de dire, ça.
Parce qu’elle a entendu des petits lapins à l’école. Elle a entendu des petits lapins à l’école, se plaindre qu’ils avaient été chassés. Et c’est là qu’elle s’est dit, mais moi je connais, ça. C’est là qu’elle s’est dit ça. Et qu’on lui a dit que ça ne comptait pas. Et qu’on lui a dit. Ah non. Ça, ça ne compte pas. Ça, ça ne compte pas. La maison, ça ne compte pas. La maison, ce n’est pas, ça.
Et c’est là qu’elle est venue vous le raconter.
Texte Marie de Dinechin
Mise en espace Matteo Perez
Avec Marie de Dinechin, Pénélope Delmas
Masque Pénélope Delmas
| Carte TO | ||
|---|---|---|
| Plein tarif | 6€ | Entrée libre |
| Tarif réduit | 4€ | Entrée libre |
| Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs | 4€ | |
| Associations, groupesà partir de 6 personnes | 4€ | |
| Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) | 4€ | |
Bagarre
Bagarre, c’est la lutte pour le pouvoir, qu’elle passe par les poings, les mots ou l’enceinte. C’est les pieds qui tapent, les nuques qui battent la mesure, les bouches qui crachent, les yeux noircis par le maquillage ou les embrouilles, les arcades qui pètent, le verre qui se brise, l’alcool qui se renverse, les tympans qui s’abîment, la poussière qui se soulève, les boules Quiès dans les cadavres d’Heineken. Bagarre est née d’une envie d’écrire pour et sur l’adolescence, dans une « langue adolescente » dont s’emparent Lucien, Oumaïma, Itziar, Tomy et Joan, chacun·e à leur manière.
EXTRAIT
LA PROCHAINE CHANSON NOUS TIENT GRAVE À COEUR
ON L’A COMPOSÉE QUAND ON ÉTAIT ENCORE AU LYCÉE
QU’ON GALÉRAIT À TROUVER NOTRE PLACE
QU’ON AVAIT L’IMPRESSION QU’ON LA TROUVERAIT JAMAIS
CETTE CHANSON ELLE EST POUR TOUS CEUX QUI L’ONT CRU AUSSI
ET CEUX QUI LE CROIENT ENCORE
ÇA FAIT PEUT-ÊTRE VIEUX CONS DE VOUS LE DIRE COMME ÇA MAIS
VOUS VERREZ
ON TROUVE TOUJOURS
©Christophe Raynaud de Lage
PRODUCTION Théâtre Ouvert – Centre National des Dramaturgies Contemporaines,
SOUTIEN Région Île-de-France dans le cadre de l’ÉPAT
Texte Sarah Hassenforder
Mise en espace Élise Vigier
Avec Hinda Abdelaoui, Esther Armengol, Aymen Bouchou, Saïd Ghanem, Romain Gy
Composition musicale Esther Armengol, Romain Gy
| Carte TO | ||
|---|---|---|
| Plein tarif | 6€ | Entrée libre |
| Tarif réduit | 4€ | Entrée libre |
| Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs | 4€ | |
| Associations, groupesà partir de 6 personnes | 4€ | |
| Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) | 4€ | |
#BLOCKHAUSPARTY
Après quatre ans d’absence, Grégoire revient avec ses amis de Paris à Ploubihan-Plage, en Bretagne, pour fêter son anniversaire dans un blockhaus rénové en logement insolite. Mais c’était sans compter sur l’intrusion de Killian, bien décidé à rétablir une certaine vérité. Que s’est-il passé dans ce blockhaus quatre ans auparavant ?
REVUE DE PRESSE
Hottello : « Du suspens, une attente, des liens qui soudent les personnages autour d’une histoire à découvrir. »
PRODUCTION Atelier de sortie de la Promotion 25 de la Classe de la Comédie – CDN de Reims
De septembre 2024 à juin 2026, Alexis Mullard fait partie de la Jeune Troupe mutualisée des CDN de Reims et Colmar.
©Comédie – CDN de Reims
Texte Alexis Mullard (éd. Théâtre Ouvert | TAPUSCRIT)
Mise en espace Tommy Milliot
Avec la Promotion 25 des élèves de la Classe de la Comédie – CDN de Reims : Kaito Bernhart, Amélie Dupuis, Maxime Henault, Félix Hugue, Anna Marc Zwecker, Ambre Provost, Sacha Theotiste, Kenley Vincent
| Carte TO | ||
|---|---|---|
| Plein tarif | 6€ | Entrée libre |
| Tarif réduit | 4€ | Entrée libre |
| Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs | 4€ | |
| Associations, groupesà partir de 6 personnes | 4€ | |
| Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) | 4€ | |
Lichka, ville d’amour
Quand, à Lichka, en Europe, Théo avoue un soir ses sentiments à Ludmila, la pluie se change en neige. Pour une année, la ville s’endort sous un sortilège d’hiver : la neige ne fond pas, et les couples se font et se défont, tandis que, dans la nuit, les garçons aux traits noirs font planer leur menace.
ENTRÉE LIBRE SUR RÉSERVATION
Sur la billetterie en ligne, au 01 42 55 55 50 ou par mail resa@theatreouvert.com

Lire, s’interroger, réécrire, réfléchir, relire, couper, faire entendre, déplacer, réécrire encore, proférer. C’est la dynamique de ces deux semaines d’ÉPAT (École Pratique des Auteur.ice.s de Théâtre), entreprise pour les interprètes de l’ESAD – École Supérieure d’Art Dramatique de la ville de Paris, l’auteur et le metteur en scène. Un espace d’exploration dégagé de tout enjeu de production pour s’interroger collectivement sur un projet d’écriture et ses résolutions scéniques.
©Christophe Raynaud de Lage
AVEC LE SOUTIEN de la Région Île-de-France pour l’ÉPAT
Texte Nicolas Girard-Michelotti
Mise en espace Igor Mendjisky
Avec Matéo Cichacki, Loïse Cote, Paul Dussauze, Louise Housset, Anastasiia Kholina, Juline Lars, Jeanne Lebeau, Pierre-François Orsini, Jules Pellissard, Pierre Sutra, Zdenka Tchamkerten, Sara Valeri, Antoine Werner
| Carte TO | ||
|---|---|---|
| Plein tarif | € | Entrée libre |
| Tarif réduit | € | Entrée libre |
| Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs | € | |
| Associations, groupesà partir de 6 personnes | € | |
| Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) | € | |
Un jour sans gravité
Un jour sans gravité est un texte qui raconte l’histoire d’une femme qui cherche un chemin de liberté pour elle et ses enfants face à un homme violent. Avec beaucoup d’humour, Chloé Vivarès retrace le procès de Lydia Kelly, accusée d’avoir tué son mari. Elle fait s’entrelacer des voix multiples: celle d’un procès, celle de l’histoire d’une victime et de ses enfants, celle d’une narratrice espiègle. Né d’un désir de roman, ce texte superpose plusieurs niveaux de narration, stimulant notre acuité et notre compréhension des points de vue. Nous aussi nous cherchons à démêler le vrai du faux et sommes embarqués, avec les personnages, dans le dédale de la machine judiciaire.
ENTRÉE LIBRE SUR RÉSERVATION
Sur la billetterie en ligne, au 01 42 55 55 50 ou par mail resa@theatreouvert.com
Lire, s’interroger, réécrire, réfléchir, relire, couper, faire entendre, déplacer, réécrire encore, proférer. C’est la dynamique de ces deux semaines d’ÉPAT (École Pratique des Auteur.ice.s de Théâtre), entreprise pour les interprètes de l’École du tnba, la metteuse en scène et l’autrice. Un espace d’exploration dégagé de tout enjeu de production pour s’interroger collectivement sur un projet d’écriture et ses résolutions scéniques.
©Christophe Raynaud de Lage
EN PARTENARIAT avec l’École du tnba (École supérieure de théâtre Bordeaux Aquitaine)
AVEC LE SOUTIEN de la Région Île-de-France pour l’ÉPAT
Texte Chloé Vivarès
Mise en espace Élise Chatauret
En collaboration avec Emmanuelle Lafon
Avec les élèves de la promotion 6 de l’École du tnba : Benoit Asnoune-Delbort, Laurie Atlan, Matthieu Bousquet, William Burnod, Apolline Clavreuil, Mattéo Cresto-Miseroglio, Marie de Dinechin, Marion de Miguel Conde, Vigga Sidénius Guldhammer, Mattéo Perez, Lucrezia Rodighiero, Pauline Rousseau, Marion Rozé, Samuel Santos Aguiar
| Carte TO | ||
|---|---|---|
| Plein tarif | € | Entrée libre |
| Tarif réduit | € | Entrée libre |
| Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs | € | |
| Associations, groupesà partir de 6 personnes | € | |
| Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) | € | |
Notre Doula
Doula, nom féminin, mot arabe dérivé du grec « doulê » qui signifie « esclave », « servante »
« Femme qui accompagne et soutient une femme enceinte et son entourage avant, pendant et après l’accouchement. À la différence d’une sage-femme, une doula n’est pas diplômée » (dictionnaire Larousse).
Cette mise en espace est le prolongement d’un chantier d’écriture proposé par Théâtre Ouvert en août 2023, qui s’intitulait Les Paradis Mobiles. Pendant huit jours, et accompagné·es par l’auteur et scénariste Marc-Antoine Cyr, quatre auteur·ices se sont réuni·es pour imaginer une proposition scénique qui entremêlerait écriture pour le théâtre et pour la télévision.
De ce chantier est née une fiction théâtrale en quatre épisodes : Notre Doula. On y suit le parcours d’un couple hétérosexuel qui décide, après plusieurs fausses couches, d’employer une doula pour l’accompagner dans sa nouvelle grossesse. Mais la jeune femme choisie pour occuper cette fonction provoque, malgré elle, une attirance étrange chez les deux époux qui glissent peu à peu dans l’obsession jusqu’à commettre l’irréparable.
Fort·es de cette première rencontre, les huit artistes ont décidé de prolonger leur recherche, pour inventer une proposition hybride, pensée à la manière d’une saison de série télévisée…
EXTRAIT du premier épisode, écrit par Marion Stenton
MÈRE. on a quelque chose
je le mets là
vous pouvez lire ? pour convenir
de notre avenir commun on a imprimé
tu as le papier chéri
on a imprimé ce qu’on s’était dit un résumé de ce qu’on s’était dit par mail
je vous laisse le lire
peut-être
PÈRE. je vous donne un stylo peut-être
MÈRE. on le garde pour nous
PÈRE. entre nous
MÈRE. nous trois
PÈRE. vous écrivez là où vous êtes née vous pouvez l’écrire
MÈRE. il ne faut pas que ça vous gêne on n’en fera rien
c’est si peu conventionnel que
en quelque sorte ça nous rassure
ce n’est pas pour
PÈRE. nous ne sommes pas policiers
MÈRE. il n’y a que ma belle-sœur qui sait pour l’instant et nous pensons nous pensons
PÈRE. nous pensons qu’il serait mieux de rester discrets après tout ce qui s’est passé avec l’hôpital nous ne voulons plus
MÈRE. je ne veux plus aller à l’hôpital vous le comprenez
ça serait bien que vous le compreniez ça
que tout se passera ici
même si
même si ce n’est pas toujours beau à voir ici même
oui pour ce miracle
je n’ai pas peur de salir le canapé
PÈRE. et aussi que l’argent n’est pas un problème si tout se passe au mieux
d’accord ?
MÈRE. signez toutes les pages ce n’est qu’une question de procédure la procédure rassure
non ?
PÈRE. c’est formidable de sentir les choses commencer
de sentir que l’on commence une histoire ensemble
hein ?
MÈRE. les choses qui commencent
les choses ont déjà commencé
dans le ventre
notre ventre ? hein ? notre ventre ?


©Joseph Banderet
PRODUCTION Théâtre Ouvert – Centre National des Dramaturgies Contemporaines avec le soutien de la Région Île-de-France
Texte et mise en espace Léna Bokobza–Brunet, Pierre Koestel, Olivia Mabounga, Anthony Martine,
Alexis Mullard, Marion Stenton,
Rebecca Tetens, Etienne Toqué
Avec l’accompagnement de Marc-Antoine Cyr
| Carte TO | ||
|---|---|---|
| Plein tarif | 6€ | Entrée libre |
| Tarif réduit | 4€ | Entrée libre |
| Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs | 4€ | |
| Associations, groupesà partir de 6 personnes | 4€ | |
| Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) | 4€ | |
Requin velours
Un été, Roxane est victime d’un viol. Le soir même, elle rencontre Joy et Kenza, les « Loubardes », qui deviennent ses amies. Avec leur soutien, Roxane tente d’obtenir réparation par le récit, le rêve et la fiction. Elle devient ensuite travailleuse du sexe et, peu à peu, se transforme en requin et renverse la violence. C’est l’histoire d’une quête de réparation.
Ce n’est pas tant du viol comme acte qu’il est question que des récits intimes et politiques autour de celui-ci : les récits procéduraux, judiciaires, ceux cathartiques, libérateurs et ceux qui cherchent à comprendre, à donner du sens. C’est une histoire singulière et sensible, une mise à nu des paradoxes, des hontes, des émotions, des nuances et des dialogues intérieurs qui font suite à une agression. C’est un sujet grave et pourtant banal, abordé comme seules des personnes concernées pourraient le faire : avec le décalage qui permet le rire, avec la douceur qu’il faut pour parler de la violence. Avec la poésie nécessaire.
Requin Velours est un texte brut et onirique, qui parle du travail du sexe, de la réparation, mais aussi de sororité, d’amitié et d’amour lesbien. C’est une quête à trois voix, une performance physique, poétique et politique.

REVUE DE PRESSE
L’Oeil d’Olivier : « Gaëlle Axelbrun donne vie avec une belle énergie à sa prose et touche au cœur. Plein de belles promesses, Requin velours saisit par son écriture sincère, sa plume brute autant qu’imagée. »
CRÉATION 2024-25 au TAPS – Théâtre Actuel et Public de Strasbourg
©Christophe Raynaud de Lage
PRODUCTION compagnie Sorry Mom
SOUTIENS TAPS – Théâtre Actuel et Public de Strasbourg, Théâtre Ouvert – Centre National des Dramaturgies Contemporaines, Centre des bords de Marnes, La Pokop, Bliiida, DRAC Grand Est, Région Grand Est, Haute École des Arts du Rhin, collectif À mots découverts, la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon – CNES
Administration Alain Rauline
Remerciements Laurent Poitrenaux, Laurène Marx
Ce projet est soutenu par le dispositif Jeunes ESTivants de Scènes et Territoires de la DRAC Grand Est et par la bourse Expériences de Jeunesse de la Région Grand Est. Ce texte a bénéficié d’un accompagnement par le collectif À mots découverts (Paris). Texte lauréat des Voix du bivouac de la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon, juillet 2023.
Texte et mise en espace Gaëlle Axelbrun
Avec Mécistée Rhea, Cécile Mourier, Amandine Grousson
Assistanat Florence Weber
Scénographie Gaëlle Axelbrun
Costumes, assistanat scénographie Camille Nozay
Lumière Ondine Trager
Création sonore Maïlys Trucat
Déconseillé aux moins de 16 ans
ATTENTION : Cette pièce traite de violences sexuelles
| Carte TO | ||
|---|---|---|
| Plein tarif | 6€ | Entrée libre |
| Tarif réduit | 4€ | Entrée libre |
| Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs | 4€ | |
| Associations, groupesà partir de 6 personnes | 4€ | |
| Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) | 4€ | |
La Cérémonie du chocolat
La Cérémonie du chocolat brosse le portrait d’un groupe d’adolescent·e·s – encadré.e.s par des parents imparfaits. Ces tout jeunes gens sont saisis dans l’instant où surgissent en eux la passion amoureuse et le désir physique. Quittant définitivement l’enfance, ils et elles sont tour à tour bouleversé·e·s par les tremblements du corps, parfois désespéré·e·s de ne pas rencontrer la réciprocité, déterminé·e·s en tout cas dans l’affirmation de leur orientation sexuelle.
Ils et elles sont également traversé·e·s par la question du futur, inquiet·ète·s du délitement du monde que les adultes vont leur laisser en héritage.
C’est donc bien à un rite de passage que nous assistons, rite plein de questionnements et de violence mais porté par un souffle poétique et une immense pulsion de vie.
J’ai essayé de ne plus te parler. De ne plus te regarder. De ne plus te voir. J’ai escaladé des montagnes, j’ai couru des marathons. J’ai nagé jusqu’à l’asphyxie. J’ai passé des nuits à boire et des nuits à pleurer. J’ai vomi. Je me suis scarifié. Me voici devant toi, enfantin, vulnérable. Sarah, je ne peux pas ne pas t’aimer. Je suis ce que je suis. Je suis ce qu’on a fait de moi. Maintenant je vais fermer les yeux. Si tu ne veux pas de moi, disparais dans les ténèbres. Mais si tu crois que tu peux m’aimer, je veux dire, apprendre à m’aimer, tel que je suis, cabossé, vulnérable, alors, alors, ne bouge pas.




Texte et mise en espace Jean-René Lemoine
Avec Jasmine Cano, Amandine Doistau, Aurélien Fayet, Gaspard Gevin-Hié, Noémie Moncel, Vincent Odetto, Léa Constance Piette, Altynay Tuganbekova, Baptiste Znamenak
| Carte TO | ||
|---|---|---|
| Plein tarif | € | Entrée libre |
| Tarif réduit | € | Entrée libre |
| Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs | € | |
| Associations, groupesà partir de 6 personnes | € | |
| Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) | € | |
Je vis dans une maison qui n’existe pas
Nikki vit dans une maison qui n’existe pas. Dans la maison qui n’existe pas il y ‘a : Madame Monstre, Les Tout Petits, et Nuage le nuage. Il n’y a pas longtemps Nikki est rentrée dans une grande colère et elle cherche à présent ce qu’elle a perdu : son calme. Nikki doit retrouver son calme et pour ça elle a besoin de Madame Monstre, des Tout Petits et de Nuage le nuage. Sans ça elle ne pourra pas quitter la maison qui n’existe pas et rentrer chez elle…
Je vis dans une maison qui n’existe pas est un texte entre naïveté d’un conte enfantin et brutalité pragmatique d’une prose directe et crue.
La pièce tisse le portrait de la psyché d’une personne souffrant de troubles dissociatifs de la personnalité et de problèmes de gestion de la colère. Elle ouvre une fenêtre sur la gestion des traumas d’enfance, l’inertie du système psychiatrique et la nécessité de fragmenter sa personnalité pour survivre à un monde où les personnes neuroatypiques se sentent exclu.e.s, indapté.e.s et irrécupérables.
REVUE DE PRESSE
Toute la culture : « Le texte, le jeu, la direction sont tous politiques et urgents. Je vis dans une maison qui n’existe pas rappelle un fait : la normalité est une construction et pourtant ce fait est sans cesse piétiné. Laurène Marx manifeste sans hausser le ton, de sa présence totale, contre “l’immense pression que subissent les gens qui ne sont pas conformes”. »
Artsmouvants.com : « L’écriture a d’exceptionnel cette approche qui toujours touche au vrai. Le maquillage, l’habit de scène ou même le nom d’emprunt fictionnel ne suffisent pas, l’intime surgit, sans fard, sans costume, d’une pudeur qui ne triche pas. Au-delà de la sincérité, la puissance de l’écriture se mêle à l’évidence du plateau. Laurène Marx capte l’attention d’une aura manifeste et d’une présence lumineuse qu’impose son authenticité. Elle aborde la détresse psychologique de l’être qui ne trouve sa place qu’en son for intérieur pourtant bousculé. De cette intranquillité jaillit une écriture à vif, faite d’injonctions qui transforme le monologue en un dialogue ouvert vers le public. Intense et fulgurante Laurène Marx suspend l’instant, le trouble et confirme la puissance sensible d’un style aussi personnel que déflagrateur. »




PRODUCTION THÉÂTRE OUVERT – Centre National des Dramaturgies Contemporaines avec le soutien de la Région Ile de France, Compagnie Je t’accapare
COPRODUCTION BAIN PUBLIC – Saint Nazaire
PRODUCTION ÉXECUTIVE EMILIE GHAFOORIAN – FAB
©Christophe Raynaud de Lage
Texte Laurène Marx
Mise en espace Laurène Marx, Fanny Sintès
Avec Laurène Marx, Fanny Sintès
Création sonore Nils Rougé
| Carte TO | ||
|---|---|---|
| Plein tarif | 6€ | Entrée libre |
| Tarif réduit | 4€ | Entrée libre |
| Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs | 4€ | |
| Associations, groupesà partir de 6 personnes | 4€ | |
| Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) | 4€ | |
Drame bourgeois
C’est Louis et L.
C’est deux solitudes.
C’est deux itinéraires, deux errances entre deux saisons, entre deux villes, entre deux histoires.
Ils pourraient s’aimer, mais ils ne se connaissent pas.
Et déjà ils se séparent.
L. – On aurait
Qui aurait proposé?
On aurait pris un café
LOUIS – Rue des Saints Pères.
Je ne sais pas
Qui a proposé
L. – Je ne prends jamais les initiatives.
Vous me l’auriez reproché
Je n’envoie pas les messages je n’en vois pas l’intérêt
Je ne me fais pas désirer je me fais peur
C’est pour ça que je fuis les responsabilités, les prises de partis, les prises de décisions, les prises
Je fuis comme l’eau. Sinon je court-circuite.
REMERCIEMENTS David Clavel, Eva Lallier Juan, Claire Lasne-Darcueil, Grégory Gabriel, Grégoire Leprince-Ringuet, Barbara Métais-Chastanier
🔺 COMPLET : Inscrivez-vous sur la liste d’attente
accueil@theatreouvert.com | 01 42 55 55 50
Texte et mise en espace Padrig Vion
Avec Louis Battistelli, Lomane de Dietrich
| Carte TO | ||
|---|---|---|
| Plein tarif | 6€ | Entrée libre |
| Tarif réduit | 4€ | Entrée libre |
| Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs | 4€ | |
| Associations, groupesà partir de 6 personnes | 4€ | |
| Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) | 4€ | |
