Vadim Vidovic
Après 2 ans de formation au Cours Florent sous la direction de Suzanne Marrot, Grétel Delattre, Anne Suarez et Frédéric Cherboeuf, Vadim Vidovic est sélectionné pour le Prix Olga Horstif 2020 à la Scala, mise en scène par Laurent Bellambe. Par la suite, il joue à Savigny sur Orge dans Par-delà les lisières dans une mise en scène de Lucas Gonzalès, puis dans On ne badine pas avec l’amour au Château de Fontainebleau dans une mise en scène de Thomas Gendronneau. Il a également travaillé auprès de Ruling Zhang Blein dans un spectacle de récitation poétique.
©DR
MAJ 03/06/25
Thomas Stachorsky
Comédien formé à l’Ecole Claude Mathieu (2017-2020) puis au Théâtre National de Strasbourg (2020-2023), Thomas Stachorsky se forme notamment sous la direction d’Alain Françon, de Dominique Reymond, Christian Colin, Maëlle Poésy et Sylvain Creuzevault.
Actuellement en tournée dans la pièce l’Esthétique de la Résistance de Peter Weiss mis en scène par Sylvain Creuzevault, il rejoint la compagnie Caute crée par Julien Vella et Jeanne Daniel Nguyen avec une partie de la promotion 47 du TNS et explore l’œuvre de Robert Musil : L’Homme sans qualités, pour la première création de la compagnie.
©DR
MAJ 03/06/25
Jade Crespy
Parisienne formée à l’École du Nord de 2021 à 2024, Jade Crespy joue notamment sous la direction de Pascal Rambert dans Seizeaucentre (2024), de David Bobée dans Fées écrit par Ronan Chéneau (2022-2024) et dans Tragédie écrit par les auteurices du Studio 7 en co mise en scène avec Éric Lacascade (2024-2025).
Elle jouera prochainement dans Soleil (2025) mit en scène par Armel Roussel au Théâtre de la Tempête ainsi que dans La Bonne Âme du Se-Tchouan de Brecht mit en scène par Nora Granovsky. Elle participe au Festival In d’Avignon où elle lit pour RFI sous la direction d’Armel Roussel (2022) et pour France Culture pour la lecture inédite du texte de Kae Tempest Paradis sous la direction de Cédric Aussir (2023). En 2022, elle présente au Théâtre du Nord un premier geste de la pièce Peter Pan en tant qu’assistante à la mise en scène dans laquelle elle joue également.
En parallèle, elle s’intéresse beaucoup à la musique, au chant et écrit et composes ses propres chansons.
MAJ 20/02/25
Poline Baranova Kiejman
Poline Baranova Kiejman est diplômée de la classe libre promotion 40 du Cours Florent puis de l’Ecole du Nord 2021/2024. Elle a commencé le théâtre après avoir travaillé dans le cinéma depuis 2010 avec Benoit Jacquot. Par la suite, elle a travaillé avec des réalisateurs comme Marion Vernoux ou Benjamin Rocher avec la série MOAH. Elle apparaît au théâtre dans une mise en scène de Virginie despentes et en tournée avec la dernière création de Yuval Rozman à partir de novembre 2025.
MAJ 20/02/25
Lundja Medjoub
Lundja Medjoub est designer et compositrice. Son travail mêle la création d’objets, la scénographie et la création sonore dans les champs de l’art. La pratique de l’enregistrement occupe une place importante dans ses rapports avec la musique. Elle aime faire entendre les éléments oubliés, disparus, invisibles, qui, bien qu’ils soient minuscules, fondent selon elle l’essentiel de l’expérience sensorielle. Elle a notamment effectué une résidence à l’Ircam, exposé au Centre Pompidou, au salon Art’o’rama (Marseille). Elle a aussi réalisé des environnements sonores pour des lieux d’exposition, composé des pièces sonores pour l’image ou le théâtre dans les domaines du spectacle vivant. Elle a dernièrement réalisé la création sonore des spectacles Soeurs (Lumière d’août), Port au Prince et sa douce nuit (Gaëlle Bien Aimé/Lucie Berelowitsch), Pistes (Penda Diouf).
©Marie Vernier-Lopin-
MAJ 20/02/25
Nina Mélo
Nina Mélo est comédienne, auteure-réalisatrice, et a grandi en Ile-de- France. Elle incarne le rôle principal dans Black Tea, le dernier film d’Abderrahmane Sissako. Elle interprète des rôles secondaires dans L’Arnacoeur de Pascal Chaumeil, Bande de filles de Céline Sciamma, Orpheline d’Arnaud des Pallières, Les affamés de Léa Frédeval, et Vendredi soir d’Alexis Michalik.
Elle est en développement d’une série de programme court humoristique, « Elles, Phasent ! », sur le vécu d’une femme afro- française et queer, projet pour lequel elle a reçu une bourse Adami- déclencheur fiction. Elle est également en développement avec Chloé Malanda d’un documentaire sur la famille afro-française et ses conflits. Les différents parcours migratoires, les identités afropéennes et queer sont des sujets qu’elle aborde dans ses projets.
©Pénélope Caillet
MAJ 20/02/25
Marina Keltchewsky
Marina Keltchewsky, comédienne, a grandi entre la Yougoslavie, le Maroc, la Russie (dont elle est originaire) et l’Argentine avant de se destiner au théâtre. Elle passe trois ans à l’école du Théâtre National de Bretagne sous la direction de Stanislas Nordey (2009-2012). De par sa culture familiale musicale, elle chante le répertoire tzigane russe et balkanique. Elle est aussi chanteuse, autrice et interprète dans le groupe Tchewsky & Wood avec Gaël Desbois. Elle écrit, aime mêler les genres, du théâtre classique et contemporain jusqu’à la scène rock et au cabaret dragqueer.
En février 2022, elle signe un texte auto- fictionnel, Roulette russe, porté à la scène sur invitation de Lucie Berelowitsch au CDN de Vire.
Elle a joué notamment dans les spectacles Se Trouver (Pirandello) et Living! (Julian Beck) mis en scène par Stanislas Nordey (2012). Dans Pauvreté, richesse, homme et bête (Hans Henny Jahn), Solaris (2021), mis en scène par Pascal Kirsch. Elle a aussi joué dans La 7ème vie de Patti Smith (Claudine Galéa) mis en scène par Benoît Bradel, dans Rien ne se passe jamais comme prévu (Kevin Keiss) et Les Géants de la montagne (Pirandello) de Lucie Berelowitsch, avec les Dakh Daughters.
Elle travaille régulièrement avec la compagnie Lumière d’août : elle a joué pour Marine Bachelot Nguyen dans Vacances (2012), Les ombres et les lèvres (2016) et Circulations Capitales (2019), spectacle où elle est aussi co-autrice, et dans les spectacles de théâtre-paysage Ça s’écrit T-C-H (2017) et Rivages (2021) d’Alexandre Koutchevsky. En 2023, elle joue dans Néandertal de David Geselson, créé au Festival d’Avignon IN. En 2024, elle joue dans Macbeth mis en scène par David Gauchard.
©DR
MAJ 20/02/25
Essia Jaïbi
Essia Jaïbi est metteuse en scène, dramaturge et productrice. Après des études littéraires et de sciences humaines à Tunis, elle part en 2008 en France, passe une licence d’études théâtrales à Paris 3- Sorbonne Nouvelle, puis un master de recherche à l’Université Paris Nanterre. En 2014, elle intègre le master professionnel en Projets Culturels dans l’Espace Public à Paris 1-Panthéon Sorbonne. Elle y fait la rencontre de Laurent Petit, fondateur de l’Agence Nationale de Psychanalyse Urbaine avec lequel elle va collaborer en France mais aussi en Tunisie, et mettre en place le projet artistique urbain « Tunis sur le divan ».
En 2017, elle revient en Tunisie pour se consacrer à la création hors et entre les murs. Elle co-crée notamment deux éditions de La Nuit des Etoiles, spectacle transdisciplinaire déambulatoire et collabore avec le collectif Street Poetry pour la mise en espace et la scénographie de Moi Plusieurs.
En 2019, elle signe sa première mise en scène avec Madame M. La même année, elle est sélectionnée par le Programme « Mentor et Protégé » de Rolex à New York, où elle retourne en 2020 invitée par le Sundance Institute. Durant le Covid et la fermeture des théâtres, elle se prête à l’expérimentation digitale sur invitation de l’Art Rue. Elle explore la thématique de la métamorphose. Métamorphose #2 passe du digital vers la scène lors du festival Dream City 2022.
En 2021, sur invitation de Mawjoudin, elle crée le spectacle Flagranti, une radioscopie de la situation de la communauté LGBTQI+ aujourd’hui en Tunisie – le premier spectacle de ce type en Tunisie et dans le monde arabe, qui acquiert une audience internationale. Pour Dream City 2023, elle crée Stigma. En 2023-24, elle organise des résidences pour artistes queer. Elle prépare actuellement un spectacle et une websérie sur les élections en Tunisie.
À travers ses recherches et créations, elle interroge les complexes et les complexités de la société tunisienne et les aspirations d’une génération en quête d’identité, de réponses et d’expériences. Parmi ses autres créations : Une chambre à Elles (2016), Black Forest (2018), Chouf Experience (2019), On la refait (2019), MAC (2020), KLASH (2021), Le Contre-Musée des Libertés individuelles (2021).
©Bashir Tayashi
MAJ 20/02/25
Karima El Kharraze
Autrice et metteuse en scène, Karima El Kharraze se forme en littérature comparée et en arts du spectacle en France et en Allemagne. Depuis 2012, elle fait des allers-retours entre le Maroc et la France et crée le spectacle autobiographique Arable (Edition Les Cygnes), Madame Flyna qui s’inspire de la figure de Touria Chaoui, première aviatrice marocaine (publié en 2022 aux Editions des Lisières) ou encore Le Cafard et L’Orchidée. Elle conçoit avec la réalisatrice de documentaires Hélène Harder Casamantes, un projet transmedia entre Casablanca et Mantes la Jolie soutenu par le CNC. Elle participe à la création et aux réflexions du collectif Décoloniser les arts ainsi qu’à leur publication aux Editions de l’Arche. Elle adapte pour le théâtre Le Cœur est un chasseur solitaire de Carson McCullers avec le soutien de la Chartreuse-CNES (compagnonnage avec Ahmed Madani). Elle collabore avec des artistes comme Eva Doumbia (Autophagies), Zoé Grossot (En avant toutes !), Malik Soarès (Quasar) ou Lou Simon (Insomniaques). Elle co-écrit avec Christelle Harbonn Le Sel (Festival d’Avignon 2022) et poursuit la co-écriture sur le projet Pépin et Le Mauvais Esprit (2024-25). Elle a bénéficié d’une résidence d’écriture avec la Comédie de Valence dont le texte Commun·e·s a été publié en 2022. En 2023, elle réside au Tangram à Evreux et à St Antoine l’Abbaye avec Textes en l’air pour son texte A droite le couteau.
©Hélène Harder
MAJ 20/02/25
Marine Bachelot Nguyen
Marine Bachelot Nguyen est autrice et metteuse en scène, dramaturge, membre du collectif Lumière d’août (Rennes). Dans son travail elle explore l’alliance de la fiction et du document, les croisements du corps et du politique, les questions féministes et postcoloniales, les généalogies sociales et intimes.
Elle a créé notamment les spectacles Histoires de femmes et de lessives, À la racine, La place du chien (sitcom canin et postcolonial), Les ombres et les lèvres (Viêtnam LGBT). Et plus récemment : Circulations Capitales (mémoires familiales France-Viêtnam-Russie, 2019), Akila le tissu d’Antigone (2020), la lecture-spectacle Soeurs (2019), le solo Nos corps empoisonnés (2023). À l’automne 2025, elle créera Boat People.
Pour différents textes elle a été lauréate du CNT, de Beaumarchais-SACD, du CNL, a obtenu les prix Sony Labou Tansi et Primeurs pour sa pièce Le fils en 2019. Elle a fait dernièrement des résidences d’écriture et de recherche à Villa Saïgon (Viêtnam), à Textes en l’Air en Isère, et à Villa Salammbô (Tunis). D’autres de ses textes ont été mis en scène par David Gauchard, Hélène Soulié, Anne Bisang, Alexandre Koutchevsky, Charlie Windelschmidt, Fanny Rudelle, etc. La plupart de ses pièces sont éditées chez Lansman, et plusieurs textes courts chez Théâtrales, l’Avant- Scène, Les Solitaires intempestifs, Deuxième Epoque. Membre fondatrice des collectifs HF Bretagne et Décoloniser les Arts, elle a aussi contribué aux ouvrages Décolonisons les arts chez L’Arche et #Metoo théâtre chez Libertalia.
©Caroline Ablain
MAJ 20/02/25
