Festival Hors les murs à la MC93

Passé – je ne sais où, qui revient

21 mars à 20h30

Le 8 mai 1945, deux faits mineurs survenus à Sétif et à Guelma déclenchent le plus grand massacre de l’histoire de France contemporaine, en temps de paix : au moins 20 000 et probablement 30 000 algériens sont tués par des européens.

La Mère raconte cette douleur sans nom. Elle habite le lieu du souvenir.

C’est le centre rayonnant de la mémoire. Elle est en relation avec le monde invisible. L’absence de son père, tué à une manifestation, est devenue une rêverie de l’éternité.

Son fils Libellule est un jeune homme enjoué et gourmand. Il est acteur, il refuse ses rendez-vous… avec le réel. Sa tête est un lieu de réunion. À la frontière de la veille et du sommeil, dans l’intériorité, il conçoit l’univers. Autour de son lit flotte la voie lactée ; l’œil est fait de la même matière que les étoiles. Les morts bondissent dans son cœur, deviennent flammes, pensées dévorantes et les esprits s’emparent de ce qui dort.

Le spectacle a été créé en mai 2018 pour L’autre saison au Théâtre National de Strasbourg avec les élèves comédien.ne.s, scénographes-costumier.e.s, régisseurs-créateurs du groupe 44

En 2007 la pièce a reçu le soutien du Centre National du Livre . Passé je ne sais où qui revient est édité aux Voix Navigables

Mise en voix Lazare en collaboration avec Anne Baudoux

Avec Claire Toubin , Paul Fougère , Yanis Skouta , Océane Cairaty , Romain Gneouchev , Ferdinand Régent – Chappey , Simon-Elie Galibert

Lumières Simon Drouart
Son Vincent Dupuy
Costumes Aliénor Duran

Durée : 1h20
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Festival Hors les murs à la MC93

Julien & la caféine & le grandiose

mercredi 25 mars à 18h

Dans le répertoire de la PAC [la ParoleAuCentre], Julien & la caféine & le grandiose est le volet 3 de la Trilogie des désajustés.

Les trois volets mettent en jeu des figures dysfonctionnelles de la famille, Simon, Jeanne et Julien, toutes trois habitées par une inadéquation et une vocation qui leur fait déborder les cases, l’émotion et la santé. Julien, depuis sa prison, nous livre le récit du basculement entre son métier de laveur de vitre d’une grande tour en projet de vaisseau spatial pour inconnu.e.s qui a tourné au massacre. Le langage est comme toujours le personnage principal de ces trajets dits.

C’est vrai qu’à la base tout ça c’est une histoire de vol. à la base laveur de carreaux c’est parce que j’avais un rêve un élan un fardeau et là et je suis à côté. un arbre pousse en moi à l’idée que Simon prenne le relai de ce rêve-là. Je suis à côté je le vois bien que je suis à côté de la tour de cristal la tour toujours là à me faire face dans sa mate brillance avec ses milles nuances de l’indifférence sa mère la pute. Et je vois bien que je suis toujours à l’extérieur et pas à l’intérieur. Du grand groupe qu’ils sont et que nous sommes – et qu’ils sont restés. oui t’as raison l’espace y en a plus à l’extérieur qu’à l’intérieur et j’ai jamais été très intérieur comme mec. Alors l’arbre pousse en moi. Alors je lui ordonne qu’il prenne le relai du rêve que moi j’ai si bien raté. Il ne répond pas donc ça veut dire oui. ça veut dire oui j’te dis. Et l’arbre pousse en moi.

Coproduction Trilogie – CDN d’Angers / Volet 1 – Production déléguée CDN de Normandie-Rouen / Volet 2 – MPAA & Grand Parquet/Théâtre Paris Villette

Mise en voix Louise Emö

Avec Mattias De Gail

Dramaturgie Muriel Bucher

Assistanat Elise Fontaine

Technique Clément Longueville

 

 

 

Durée :
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Festival Hors les murs à la MC93

Les cinq fois où j’ai vu mon père

dimanche 29 mars 16h

« Aujourd’hui encore à l’âge où je suis vieux, je ne cesse de le chercher. Depuis la cinquième fois où j’ai vu mon père, il a disparu. Il n’est bien sûr pas encore mort. Il est bien en vie, mon père. Il ne donne toujours pas de nouvelles. Mais tout semble aller. Il a pris sa retraite, vit comme vit un Occidental au repos. »

………….

Dans mon travail, depuis des années, mère, père, fils, fille, s’entrechoquent indéfiniment. Je ne cesse d’établir la famille comme si elle était la clef de l’énigme du problème humain. C’est encore une fois le cadre de cette pièce. Le sujet est personnel, voire intime. Alors qu’il concerne bien d’autres. Car nous avons chacun subi une absence quelque part.

Je souhaite ici faire une radiographie de la famille, de ces familles qui ne jurent que par leur départ du pays pour des destinations multiples, vers là où ça va mieux : Etats-Unis, Canada, France, etc. Tout au long de ma vie, et aujourd’hui encore, j’ai vu passer une vraie flopée de familles misant tout dans la partance. Et c’est cela que je questionne ici. Des gens qui s’effacent d’une vie dans l’espoir de revivre une autre, laissant tout derrière eux. Sans se rendre compte de l’absence que cela génère.

Guy Régis Jr

Production NOUS Théâtre
Coproduction (en cours) Théâtre Ouvert – Centre National des Dramaturgies Contemporaines, L’Artchipel Scène Nationale de la Guadeloupe
Avec le soutien de l’Institut français à Paris, Nouveaux Imaginaires (réseau francilien pour les dramaturgies d’expression française), La Comédie-Française
Ce texte est lauréat de l’Aide à la création de textes dramatiques – ARTCENA
D’après Les cinq fois où j’ai vu mon père de Guy Régis Jr. Editions Gallimard – coll. Haute Enfance

Texte et mise en espace Guy Régis Jr.
avec Christian Gonon, de la Comédie française
assistante à la mise en scène / création sonore Hélène Lacroix

Durée : durée estimée 1h / dès 12 ans
Petite Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
vendredi 27 mars 20h

Ça raconte Sarah, sa beauté mystérieuse, son nez cassant de doux rapace, ses yeux comme des cailloux, verts, mais non, pas verts, ses yeux d’une couleur insolite, ses yeux de serpent aux paupières tombantes. Ça raconte Sarah la fougue, Sarah la passion, Sarah le soufre, ça raconte le moment précis où l’allumette craque, le moment précis où le bout de bois devient feu, où l’étincelle illumine la nuit, où du néant jaillit la brûlure. Ce moment précis et minuscule, un basculement d’une seconde à peine. Ça raconte Sarah, de symbole : S.

L’histoire d’une passion amoureuse, le récit à la première personne d’un amour fou et dévorant entre deux femmes.

Production Théâtre Variable n°2

Coproduction Comédie Poitou-Charentes – Centre dramatique national, Entrepont – Nice, Mairie d’Aubervilliers

Partenaires EA SACRe – Université PSL

Texte Pauline Delabroy-Allard

Adaptation et mise en scène Keti Irubetagoyena

Interprétation Julie Moulier

Installation photographique Pia Ribstein

Collaboration culinaire Kelly Paulme

Assistanat documentaire Elodie Hervier

Durée :
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
samedi 28 mars 15h30

Dans une atmosphère chaleureuse et propice aux échanges avec le public, des auteurs partagent leur poésie en toute simplicité. Il s’agit de retrouver l’ambiance des soirées organisées fréquemment à Port-au-Prince où chacun vient transmettre les textes de ses auteurs préférés. Mais loin de rester extérieurs, les spectateurs se joignent à cette fête de la langue pour donner à entendre leurs propres textes ou leurs poèmes préférés, dans un grand banquet de mots.

Production NOUS Théâtre
Avec le soutien de l’Association 4 Chemins, Nouveaux Imaginaires (réseau francilien pour les dramaturgies d’expression française).

Avec Guy Régis Jr (poète, diseur, metteur en scène), Wooly Saint Louis Jean (guitariste, chanteur), Hélène Lacroix (pianiste, diseuse), Daphné Ménard (chanteur, diseur)

Durée : durée estimée 2h / dès 6 ans
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Festival Hors les murs à la MC93

Les Acteurs français Portrait n°1: l’acteur fragile

jeudi 19 mars à 19h30

À la suite d’une performance créée en 2018 avec le cinéaste Alain Cavalier, l’auteur Mohamed El Khatib a voulu revenir sur un des thèmes évoqués au long de leurs échanges : la tendresse et la distance qu’ils cultivent à l’égard des acteurs. Après s’être débarrassés d’eux dans leur pratique quotidienne de documentaristes, Alain Cavalier et Mohamed El Khatib y sont revenus parfois, par coquetterie, le plus souvent par amitié, mais toujours avec la plus grande prudence.

Figure à la fois fascinante et inquiétante, l’acteur est autant un objet de fantasmes que son métier est précieux et précaire.

À l’invitation de France Culture, Mohamed El Khatib initie une série de portraits d’acteurs et d’actrices qui ont marqué le théâtre ou le cinéma français : la série a été inaugurée le 18 juillet 2019 à l’occasion d’une lecture inédite avec Éric Elmosnino au Festival d’Avignon.

Production France Culture dans le cadre de Avignon – Fictions

Sur une invitation de Blandine Masson

Réalisation Christophe Hocké

Cette commande de France Culture a été réalisée avec la SACD – Voix d’auteurs

Avec le soutien de Zirlib

Avec Éric Elmosnino

Accompagné de Mohamed El Khatib et Damien Naert

Dramaturgie Vassia Chavaroche

Régie Arnaud Léger

Durée : 1h
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
jeudi 5, vendredi 6, samedi 7 mars

Peut-être que les araignées sont capables de faire semblant de mourir devant un danger imminent ?
Si seulement je pouvais faire ça de temps en temps me mettre en pause.

Son travail, elle l’a toujours bien fait. Quitte à expulser des gamins qui avaient menti. Elle l’a toujours bien fait, mais peut-être trop bien.
Surtout quand elle a rencontré S, l’un de ces Mineurs Non Accompagnés, l’un de ses trop nombreux dossiers. Et qu’elle a voulu changer le système de l’intérieur.
Elle travaille toujours dans l’Aide Sociale à L’Enfance. Mais plus avec les MNA. On préfère ça, qu’elle ne le fasse plus.

………………….

Après deux créations participatives menées avec des lycéens primo-arrivants en classe UPE2A, j’ai eu besoin de comprendre ce qu’ils vivaient, et plus précisément la manière dont ils étaient accueillis. Cela me semblait trouble, dispersé, voire opaque pour qui n’a pas appris le jargon bureaucratique et ses sigles énigmatiques. J’ai rencontré des professeurs, des éducateurs spécialisés, des directeurs de centres, des juristes, des avocats, et des employés de l’Aide Sociale à L’enfance. Tous sont aux prises avec des injonctions contraires, oscillant entre déborder les limites légales de leurs métiers et s’y cantonner par souci de protection ou de loyauté. D’un côté comme dans l’autre, le sens de leur travail est mis à mal.
Ces paroles recueillies la plupart du temps en off racontent un état du monde politique, celui de la France et de ses contradictions dans l’accueil des mineurs. Elles interrogent la responsabilité de chacun dans ce système, en commençant par ceux qui sont engagés par leur travail. Elles interrogent notre regard sur l’autre, et plus précisément sur l’enfant étranger qu’on n’accueille qu’à titre provisoire.
A partir de la retranscription parfois imaginaire de ces voix, j’ai commencé à écrire un monologue polyphonique. Une femme seule en scène, traversée par ces voix contradictoires, glissant dans l’absurdité de ces trajectoires, et dans la folie énigmatique de cette bureaucratie.


Charlotte Lagrange

Texte à paraître aux éditions Tapuscrit/Théâtre Ouvert

Production La Chair du Monde
Coproductions (en cours) : Le NEST – CDN transfrontalier de Thionville-Grand Est; La Comédie de Béthune – Centre Dramatique National Nord – Pas de Calais; Théâtre Ouvert – Centre National des Dramaturgies Contemporaines; Théâtre du Beauvaisis – Scène Nationale de Beauvais

Avec le soutien de La Chartreuse de Villeneuve-Lez-Avignon – Centre National des écritures du spectacle, Théâtre Ouvert-Centre National des Dramaturgies Contemporaines, Région Île-de-France

La compagnie est en convention triennale avec la Région Grand-Est dans le cadre de l’aide à la structuration 2018/2020.

Lieux de résidences MA Scène Nationale de Montbéliard, Le NEST – CDN transfrontalier de

Thionville-Grand Est, le Théâtre Paris-Villette Made in TPV, La Chartreuse de Villeneuve-Lez-Avignon – Centre National des écritures du spectacle.

Avec Marie Dompnier
Collaboration à la mise en scène Valentine Alaqui

Scénographie Camille Riquier
Son Mélanie Péclat
Lumières Kevin Briard

Durée : 1h - à partir de 15 ans
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
mercredi 11 et jeudi 12 mars

Une jeune femme se réveille seule sur une lande déserte. Elle a oublié son identité, ne sait pas où elle se trouve, ne se souvient de rien. Elle tente de comprendre comment elle en est arrivée là, imagine un scénario, échafaude des hypothèses, en creuse une, puis une autre, et peu à peu élabore un récit, les fictions possibles se ramifient. Mais est-ce bien certain ?

Seule est une fiction parue en 2018 aux Editions Inculte qui éditent depuis plusieurs années l’oeuvre de Daniel Foucard. Seule parle du monde à partir d’un point fixe isolé : une femme se réveille dans un territoire inconnu. Le texte a quelque chose d’un thriller psychologique, une enquête où l’état du monde tient lieu de psychologie. C’est aussi une variation contemporaine et féminine de la figure de Robinson Crusoë. Dans cette fiction qui avance par flux et saccades, bifurcations et accélérations, il y a d’abord une écriture jubilatoire pour une comédienne, une partition forte pour un « seule en scène ».

Si Daniel Foucard n’écrit pas pour le théâtre, ses dispositifs littéraires ont cependant quelque chose de théâtral. Les échappées inattendues et les réflexions multiples dessinent un paysage plein de variations dans lequel se dresse le personnage. La découverte du texte coïncide avec la rencontre de Séphora Pondi, jeune interprète découverte dans Désobéir, spectacle qui a révélé un tempérament d’actrice, une présence scénique douée du talent à multiplier les incarnations, passer d’une présence à l’autre, d’un mode d’oralité à l’autre. A la lecture de Seule il était évident que le personnage féminin devait être joué par Séphora Pondi.

Seule a fait l’objet d’une adaptation à la scène intitulée S-E-U-L-E ? réalisée par Sébastien Lepotvin, dramaturge avec qui je collabore depuis 2015 sur l’écriture des spectacles que je mets en scène (Ce qui nous regarde en 2016, Que viennent les barbares en 2019).

Myriam Marzouki

 

……………

EXTRAIT

Je suis blanche et fière de l’être comme mes ancêtres le furent, c’est ainsi qu’on les désignait, qu’on les montrait du doigt, blancs tout simplement

Je suis femme et blanche de peau et n’ai de comptes à rendre à personne sauf si je suis noire car rien ne me dit que je suis indiscutablement plus blanche que noire

Personne, dans cette ville déserte, ne me désigne en disant : cette femme est blanche, cette femme est noire, pas même un reflet, un miroir de rue, que je me fasse ma propre idée, quoiqu’en la matière seule l’opinion de l’autre compte vraiment

Il faudrait au moins pouvoir croiser un individu, quelqu’un qui entraverait mon chemin, nous obligeant tous deux à esquisser un petit détour je verrais tout de suite dans son regard si je suis noire ou blanche de peau alors évidemment, c’est une femme que cette personne verrait en premier, belle de surcroît, on sait combien l’attrait sexuel gomme instantanément les différences, mais tout son corps, toute son allure trahiraient une gêne passagère si nous sommes différents, je serais fixée en une fraction de seconde

Il y a fort à parier que les habitants d’ici font exprès de se cacher pour me laisser dans ce doute

Production Cie du Dernier Soir
Coréalisation Théâtre L’Échangeur – Cie Public Chéri

 

Seule de Daniel Foucard est publié aux éditions Inculte

Mise en scène Myriam Marzouki

Avec Séphora Pondi

Adaptation théâtrale Sébastien Lepotvin

Collaboration artistique Magali Gaillet-Cajan

Création lumière Emmanuel Valette

Régie générale Francis Leconte

Durée : 1h10 - à partir de 15 ans
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
DU MERCREDI 15 AU SAMEDI 25 MAI 2019

VITRIOL est un acronyme qui cache une formule alchimiste. Celle-ci enjoint à descendre au plus profond de soi pour découvrir l’essence de son être. Ce titre annonce la profondeur d’une intrigue fondée au départ sur le triangle, canon du vaudeville, le mari, la femme et non pas l’amant, mais l’amour du passé.

C’est dimanche. Notre héroïne vit une soirée calme avec le nouvel homme, l’homme du présent. Et le passé revient. Cet homme qu’il n’a jamais rencontré arrive chez eux. Comment vont-ils cohabiter ? Comment faire avec cet autre qui se déforme peu à peu et densifie chaque minute? Une ultime bataille qui va révéler trois guerriers.

« L’amour, la folie et la survivance restent au cœur de ce travail : la folie hurlante dans un opéra gueulé. Un oratorio musical. »

Le couple neuf cherche à définir comment s’aimer en dehors de la passion, en dehors du passé. L’homme du passé cherche un asile, un refuge lors de l’assaut d’une énième crise maniaque. Une présence qui échauffe tous les rapports et va les révéler chacun plus profondément.

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Production Tout un ciel
Liens Tout Un Ciel

Texte Roxane Kasperski & Elsa Granat

Mise en scène Elsa Granat

Collaboration artistique Hélène Rencurel

avec Roxane Kasperski, Olivier Werner, Pierre Giafferi

Musiciens Fanny Balestro, Quentin Coppalle, François Vallet

Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€