Inès Tahar

Inès Tahar est un.e écrivain.e, comédien.ne et metteureuse en scène, franco-algérien.ne, résident.e et militant.e de Toulouse.

AZF. Le mur de l’appartement familial au Mirail tombe. De nouvelles scènes peuvent commencer et Inès se met à écrire des pièces courtes jouées par ses petit.es camarades racisés des quartiers populaires.
Puis des études. D’abord de philosophie puis d’études théâtrales qui lea mène en Master 2 EDCS à l’Université du Mirail. Iel monte un collectif de théâtre et cinéma durant trois ans et devient également assistant.e metteur en scène pour une compagnie de théâtre qui verra sa première au théâtre national d’Orléans. Inès Tahar joue dans plusieurs courts métrages et monte enfin sa compagnie « Avec l’ombre et la tempête » avec l’artiste KIM Hee-Jin.

Mais le plus important n’est pas le CV.
Le plus important c’est sa lutte dans l’écriture.
Abordant des sujets comme la toxicophobie, la folie, la dystopie et l’utopie politique, les violences de classes et de races, la lutte queer racisée, l’adolescence des marginalisé.e.s, Inès Tahar multiplie les médias d’écriture. Sur son compte @Bleunadir où iel publie de la poésie et des textes militants, iel joue dans des lieux autogérés ou dans sa vie de tous les jours où iel participe à la création d’une communauté de pair aidance entre queer racisé.e.s.

Exister c’est résister.

MAJ 09.07.24

Orama Nivet

Ilonah Fagotin

Autrice et metteure en scène, Ilonah Fagotin a intégré la formation de l’Ecole du Nord, parcours auteur, sous la direction de David Bobée, entre 2021 et 2024. Elle perçoit le théâtre comme un espace de laboratoire qui permet de mettre en expérimentation des réflexions sur le réel. Pour cela, elle s’appuie sur un bagage universitaire qui lui vient de sa formation en Classe Préparatoire Littéraire aux Grandes Ecoles et un master d’arts du spectacle à l’université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis.

Au cours de sa formation à l’Ecole du Nord, elle a l’occasion d’aller au cœur des pratiques d’artistes comme Penda Diouf, Gerty Dambury, Marc-Antoine Cyr, Nora Granowsky, Phia Ménard et Armel Roussel. Tous vont nourrir son envie de recherche de nouveaux dispositifs dramaturgiques. Elle assiste Armel Roussel, dans le cadre des lectures RFI Ҫa va, ça va le monde au festival d’Avignon (2022). Elle travaille à l’adaptation du texte Fées de Ronan Chéneau et à l’assistanat à la mise en scène pour David Bobée au Théâtre du Nord, avec les élèves comédien.nes de sa promotion (2022-2023). Elle écrit son texte de sortie Ce qu’il aura fallu en 2023 et en montre une maquette en mars 2024 au Théâtre du Nord. Elle co-écrit Tragédie spectacle de sortie du studio 7 de l’Ecole du Nord mis en scène par David Bobée et Eric Lacascade (création 2024).

 

MAJ 26.06.24

Jessica Guilloud

Le travail de Jessica Guilloud navigue entre fiction et documentaire ; un de ses enjeux principaux est de raconter des histoires intimes pour en aborder les enjeux politiques. Produire des savoirs situés. Ses pratiques sont nourries de ses différentes formations en sciences sociales, littérature et arts dramatiques. 

Jessica est artiste interprète, co-auteure et réalisatrice de documentaire.

Dès son jeune âge, elle pratique la flûte traversière, entretient un sens de l’humour espiègle et de grandes capacités vocales. Elle se forme au CRR de Lyon en musique classique, dans les licences de Lettres Modernes et d’Anthropologie à l’Université Lumière Lyon 2, puis en Art dramatique au Conservatoire royal de Mons en Belgique.

En parallèle, elle est maçonne et travaille bénévolement dans des collectifs solidaires de lutte pour la régularisation, le droit au logement, l’antiracisme, l’antisexisme… Elle poursuit sa volonté de politiser sa pratique artistique et son mode de vie. 

Depuis 2020, elle est accompagnée de sa chienne Johnny dans la plupart de ses projets. 

De 2021 à 2023, elle était co-porteuse du collectif théâtrale Mégafeux, et actrice dans son spectacle La Litière, une science-fiction post-punk queer – spectacle à destination de lieux et de réseaux alternatif et non-institutionnels. Elle est comédienne dans des films : avec Johnny dans Mourir à Ibiza de Léo Couture, Mattéo Eustachon et Anton Balekdjian (6 prix au FID Marseille) en 2022, puis dans Chico de Théo Abadie en 2023. 

Elle réalise en ce moment Ceux qui me restent, son premier documentaire soutenu par la SCAM.

Elle travaille avec Laurène Marx depuis mars 2023, d’abord comme regard extérieur pour Je vis dans une maison qui n’existe pas, puis comme co-auteure de Jag et Johnny. Elle est interprète de ce même texte depuis septembre 2023, accompagnée de sa chienne Johnny. 

Élise Vigier

Elise Vigier a suivi la formation de l’École du Théâtre National de Bretagne. En 1994, elle crée avec les élèves de sa promotion Les Lucioles, un collectif d’acteurs.

De 2015 à décembre 2023, elle est artiste associée à la direction de la Comédie de Caen – CDN de Normandie. De septembre 2016 à juin 2020, elle est artiste associée à la MAC de Créteil.

Elle co-met en scène plusieurs spectacles avec Marcial Di Fonzo Bo, notamment des pièces de Copi, Rafaël Spregelburd, Martin Crimp, Petr Zelenka. Avec Frédérique Loliée, elle joue et met en scène en duo l’écriture de Leslie Kaplan, Déplace le ciel et Louise, elle est folle, Toute ma vie j’ai été une femme.

Comme actrice, elle joue principalement dans des mises en scène de Marcial Di Fonzo Bo, Pierre Maillet, Bruno Geslin, Brigitte Seth et Roser Montlló Guberna. Dernièrement, elle joue dans Mes jambes, si vous saviez quelle fumée, une reprise d’un spectacle créé autour de la figure de Pierre Molinier et mis en scène par Bruno Geslin.

Dans le cadre d’un projet européen, elle réalise un documentaire Les femmes, la ville, la folie 1. Paris. Elle co-réalise également, avec Bruno Geslin, un moyen métrage La mort d’une voiture et écrit, avec Lucia Sanchez et Frédérique Loliée, à la réalisation de films courts intitulés Let’s Go dans lesquels elles jouent également.

En novembre 2017, elle a mis en scène Harlem Quartet d’après le roman Just Above My Head de l’auteur américain James Baldwin créé à la MAC de Créteil. En janvier 2018, elle signe avec Marcial Di Fonzo Bo M comme Méliès à la Comédie de Caen. Le spectacle a reçu le Molière du spectacle Jeune public en 2019.

Et Kafka dans les villes en co-mise en scène avec Frédérique Loliée et la collaboration de Gaëtan Levêque pour le cirque dans le cadre de Spring en mars 2018 sur une composition de Philippe Hersant pour l’Ensemble Sequenza 9.3 à partir de Premier Chagrin de Franz Kafka.

En 2020, elle met en scène Le Royaume des animaux de Roland Schimmelpfenning avec Marcial Di Fonzo Bo à la Comédie de Caen. En janvier 2021, toujours en co-mise en scène avec Marcial Di Fonzo Bo, elle monte un deuxième spectacle jeune public autour de la figure de Buster Keaton.

En mai 2021, elle met en scène, aux Plateaux Sauvage à Paris, Le monde et son contraire – Portrait Kafka de Leslie Kaplan. En juillet 2022, elle met en scène, au Festival d’Avignon, Anaïs Nin au miroir d’Agnès Desarthe, d’après L’Intemporalité perdue et autres nouvelles d’Anaïs Nin. Et en 2023/2024, elle mène un projet européen Voyages avec K. autour de l’écriture de Franz Kafka et Leslie Kaplan.

©Christophe Raynaud de Lage
MAJ 13/02/24

Lillah Vial

Formée au CRR de Rennes et au Studio de Formation Théâtrale de Vitry-sur-Seine, Lillah Vial est également diplômée d’un Master de Lettres Arts et Pensée Contemporaine de l’Université Denis-Diderot et d’un Master Métiers de la Production Théâtrale de l’Université Paris 3. En 2014, elle co-fonde la compagnie Avant l’Aube. Elle est comédienne dans les spectacles L’Age Libre, Je suis sorcière, Rien ne saurait me manquer et Tout sera différent. Elle écrit et met en scène le spectacle jeune public On ne naît pas femme. Egalement comédienne-danseuse pour la Compagnie Pied d’Argile, elle joue dans les spectacles Les Fissures de mon visage, Summertime, Combinaisons, La mort de Férula, Dors mon Ange et La Piste aux étoiles. En 2017, elle crée avec Taya Skorokhodova la compagnie OkO, et joue comme comédienne-danseuse dans le spectacle Manques mis en scène par Taya Skorokhodova.

MAJ 13/02/24

Agathe Charnet

Agathe Charnet est née en 1991. Elle partage sa vie entre le jeu, l’écriture, la mise en scène, la dramaturgie. Elle est co-directrice artistique avec Lillah Vial de la compagnie La Vie Grande, basée au Havre.

Elle a fait beaucoup (trop) d’études. Du théâtre, au Conservatoire du Xème arrondissement de Paris et au Studio de Formation Théâtrale de Vitry-Sur-Seine. Elle passe aussi par un Bachelor à l’Institut d’Etudes Politiques de Paris, un Master à l’Ecole de Journalisme de Sciences Po, une Licence de Lettres Modernes à la Sorbonne Paris-IV et en Maitrise de recherche en Lettres Arts et Pensée Contemporaines à l’Université Denis Diderot (mention très bien) puis à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales où elle est diplômée d’un Master en sociologie du genre (mention très bien) en 2020. Elle a travaillé deux ans en tant que journaliste en presse écrite et documentaire radio en France et à l’étranger (Le Monde, Arte Radio, Binge Audio, RFI).

Elle commence à écrire pour le théâtre en répondant à l’invitation d’Hakim Bah pour le Festival l’Univers des Mots de Conakry en 2017 où elle présente son premier texte Je suis Sorcière. Puis, en collaboration avec la metteuse en scène Maya Ernest et la Compagnie Avant l’Aube, elle écrit Rien ne saurait me manquer et Tout sera différent. Elle écrit et co-dirige le spectacle de sortie des élèves de deuxième année du Studio de Formation Théâtrale en 2019 et 2020 au Théâtre de l’Opprimé. Ses textes sont accompagnés par le Collectif A Mots Découverts et ont été repérés par le Festival Auteurs Lecteurs Théâtre, le Festival Textes en Cours et la Revue la Récolte où un cahier lui est consacré. Elle est lauréate de la Bourse Beaumarchais-SACD en 2020 pour Ceci est mon corps et de l’aide à la création ARTCENA 2021 (publié aux Editions l’Oeil du Prince).

En 2021-22, elle est autrice associée au théâtre de la Tête-Noire (Scène conventionnée d’intérêt national Art et création – Ecritures contemporaines Saran) et est en résidence à l’automne à la Chartreuse, centre national des écritures du spectacle, pour une commande d’écriture de Patrice Douchet, Nuits de juin autour de la jeunesse contemporaine. Elle collabore en tant que dramaturge pour Un Sacre, mis en scène par Lorraine de Sagazan (Compagnie La Brèche), création Comédie de Valence en septembre 2022.

Sa première mise en scène Ceci est mon corps (Compagnie La Vie Grande) est créée en 2022 au Théâtre de La Halle O Grains de Bayeux, est présentée au Festival En Attendant l’Eclaircie en Normandie, au Lavoir Moderne Parisien et est en tournée au Théâtre du Train Bleu au Festival d’Avignon 2022. Le texte est repéré par le Collectif A Mots Découverts, le comité de lecture des Ilets, CDN de Monluçon, le comité de lecture de la Comédie de Caen et finaliste du comité de lecture du Théâtre des Quartiers d’Ivry.

Elle est lauréate du dispositif ARTCENA Auteurs en Tandem avec Camille Chatelain sur la saison 2022-2023 pour le projet « Habiter nos colères » et de l’édition 2023 des Intrépides de la SACD au Festival d’Avignon. Elle écrit le spectacle-concert Le Dieu des Causes perdues pour la metteuse en scène Ambre Kahan dans le cadre du Festival Jeunes Créatrice de Villefranche-sur-Saône.

Attachée à la transmission, elle mène des ateliers d’interprétation théâtrale et d’écriture auprès de divers publics (ateliers avec le Théâtre Gérard Philippe, la Comédie de Reims, le Théâtre de la Tête Noire, artiste pédagogue au Préau, CDN De Vire, CDN de Besancon Franche-Comté, Festival Paris l’été…).

Elle défend une écriture théâtrale axée dans un premier temps sur la récolte de parole, le reportage et la recherche dramaturgique – à la frontière du journalisme, de l’autofiction et de la sociologie – puis en lien direct avec la mise en scène et le plateau pour créer une langue mouvante qui se (re)modèle constamment au plus près des artistes comme des sursauts du monde.

Agathe Charnet se définit comme une autrICE, engagée pour une autre représentation des genres et des sexualités LGBTQIA+ dans les textes dramatiques contemporains.

MAJ 13/02/24

Sandrine Juglair

Juglair de son prénom Sandrine est passée par les écuries du CNAC (Centre National des Arts du Cirque). Elle sort diplômée en 2008 avec le spectacle La part du loup mis en piste par Fatou Traoré. Depuis elle a vécu multiples expériences en tant qu’interprète notamment avec Cahin-Caha, Cirque Plume, Les Colporteurs, la Compagnie Inhérence ou encore Anomalie & cie…

En 2012, elle se frotte une première fois au travail d’autrice avec son acolyte Jean-Charles Gaume pour la forme courte J’aurais voulu puis a définitivement sauté le pas en 2017 pour créer son premier solo DIKTAT, sorte de one woman show tragi-comique.
En parallèles de ces collaborations artistiques, elle continue ses recherches sur les représentations et crée Plastic Platon en duo avec Julien Fanthou (alias Patachtouille) pour les Vive le Sujet ! du Festival d’Avignon 2021 et sort son deuxième spectacle DICKLOVE en novembre 2021 au Manège de Reims.

Béatrice Bienville

Béatrice Bienville est autrice et metteuse en scène de théâtre. En 2012, lauréate du concours d’écriture théâtrale des jeunes de la Caraïbe, elle quitte la Guadeloupe pour ses études. Après une classe préparatoire littéraire et une licence de philosophie, elle intègre le département Ecrivain.e.s Dramaturges de l’ENSATT dont elle sort diplômée en 2018. Elle entre alors à l’Académie de la Comédie Française comme élève metteuse en scène/dramaturge pour la saison 2018/2019.
La véritable histoire de la Gorgone Méduse, pièce écrite pour le Lynceus Festival 2021, est coup de coeur 2020 du Théâtre de la Tête Noire à Sarran, lauréat du prix Scenic Youth de la Comédie de Béthune et lauréat du DESC#1 du théâtre du Quai à Angers, qui le publie dans sa nouvelle collection. Son dernier texte, C’est là que mon nombril est enterré, est sélectionné par le comité de lecture Jeunes Textes en Liberté, Encouragements Artcena, et lauréat du comité de lecture du Quartier des Autrices et des Auteurs du Théâtre des Quartiers d’Ivry. Il est à paraître aux éditions Passage(s). Elle a été autrice associée à la scène nationale Les Scènes du Jura pour la saison 2022/2023 dans le cadre du dispositif Compagnonnage écriture de la DRAC Bourgogne-Franche Comté, et sera autrice associée au CDN de Tours sous la direction de Bérangère Vantusso à partir de janvier 2024. Avec Hoël-le Beauchard de Luca et Jana Remond, elle co-crée Collective Dévorante, une collective d’auteurices de théâtre, qui vise à défendre les écritures contemporaines non-oppressives.

©DR

MAJ 05/12/23

Carole Fréchette

D’abord formée comme comédienne à l’École Nationale de Théâtre du Canada, Carole Fréchette a fait partie du Théâtre des Cuisines jusqu’au tournant des années 1980 ; elle y a participé à la création de trois spectacles. Parallèlement, elle a touché à plusieurs facettes de l’activité théâtrale : organisation de festivals, critique, etc. Elle se consacre à l’écriture depuis une vingtaine d’années. Ses pièces, traduites jusqu’à maintenant en dix-neuf langues, sont jouées un peu partout à travers le monde. Au cours des vingt dernières années, on a pu les voir au Québec, au Canada anglais, aux Etats-Unis, en France, en Belgique, en Allemagne, au Portugal, en Roumanie, en Turquie… Carole Fréchette est également l’auteure de deux romans pour adolescents, diffusés eux aussi en plusieurs langues et elle a traduit en français la pièce de Colleen Wagner, The Monument, produite à Montréal en 2001. Tous ses textes de théâtre ont par ailleurs fait l’objet de lectures publiques et plusieurs d’entre eux ont été produits à la radio en France, en Belgique, en Suisse et en Allemagne. Les Sept jours de Simon Labrosse ainsi que Jean et Béatrice ont été adaptés pour la télévision.

Deux fois récipiendaire du Prix du Gouverneur général, en 1995, pour sa pièce Les Quatre morts de Marie et en 2014, pour Small Talk, Carole Fréchette a été finaliste à ce même Prix pour La Peau d’Élisa (1998)Les Sept jours de Simon Labrosse (1999)Jean et Béatrice (2002)Serial Killer et autres pièces courtes (2008). À Toronto, sa pièce Les Quatre morts de Marie a été couronnée par le Prix Chalmers, et deux de ses textes ont été mis en nomination aux Dora Mavor Moore Awards. En littérature jeunesse, elle a été finaliste au Prix Montréal-Brive de même qu’au Prix M. Christie pour son roman Carmen en fugue mineure. Pour souligner son rayonnement dans l’espace francophone, la Société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD) lui décernait en 2002, à Avignon, le Prix de la Francophonie ; elle recevait, la même année, à Toronto, le Prix Siminovitch, prestigieuse récompense accordée à un auteur de théâtre canadien pour l’ensemble de ses écrits. Sa pièce Le Collier d’Hélène lui méritait en 2004, le Prix Sony Labou Tansi des Lycéens, décerné à Limoges; son dernier ouvrage, Small Talk est finaliste à ce même prix pour l’édition 2016. En 2008, son texte La Petite pièce en haut de l’escalier a été parmi les cinq nominés au Grand Prix de littérature dramatique, en France. Enfin, elle a fait partie des finalistes au Prix Michel Tremblay pour Je pense à Yu (2012) et Small Talk (2015).

Très active dans le milieu théâtral, Carole Fréchette a présidé, de 1994 à 1999, le conseil d’administration du Centre des auteurs dramatiques, organisme voué au développement et à la promotion de la dramaturgie québécoise actuelle. Elle a donné, au fil des ans, de nombreux ateliers d’écriture, au Québec et en France, et elle fait régulièrement du tutorat au Programme d’écriture dramatique de l’École Nationale de Théâtre du Canada.

 

©DR

Maj 17/10/23