Virgile L. Leclerc
En 2009, Iel joue dans Hamlet montage, mis en scène par Maryse Meiche et Aline Vattier. Après un stage d’installation-performance en Thaïlande, où Iel est initiée au mime corporel, Iel travaille avec Bruno Wacrenier, Lorène Menguelti, Françoise Roche.
En 2013, Iel rejoint le collectif CRISIS qui questionne le genre dans les soirées parisiennes. Iel participe à un stage de danse-théâtre au TGP St-Denis en mai 2014, dirigé par Nathalie Fillon et Jean-Marc Hoolbecq.Iel intègre la compagnie Avant L’Aube et joue dans L’Âge libre. La même année, Iel entre au conservatoire du 6ème arrondissement, avec Bernadette Lesaché et Sylvie Pascaud. Iel joue dans SE/PARARE mis en scène par Laura Thomassaint et remporte le prix d’interprétation féminine de l’édition 2015 du festival Rideau Rouge. Iel joue dans La Machine, une création dirigée par Laetitia Guédon, et travaille sous la direction de Niels Arestrup et Brigitte Catillon lors d’un stage sur La Mouette de Tchekhov.
En 2017, Iel joue dans Je ne voudrais en aucun cas qu’on me vole ma mort de Laura Thomassaint, présente Où va ma rage, un seul en scène politique au festival Texte en Cours de Montpellier et participe au Festival Univers des Mots avec Je suis Sorcière, un projet de mise en maquette porté par la Cie Avant l’Aube. En 2018, Iel rejoint la compagnie MKCD et joue Phèdre/ Salope à La Loge, joue dans le film Je ne suis pas un homme facile d’Eléonore Pourriat et intègre le compagnonnage au Théâtre Gérard Philipe pour son projet de mise en scène sur les Disparitions volontaires, Billie. Iel rejoint ensuite le repas-spectacle Petits effondrements du monde libre mis en scène par Guillaume Lambert / L’instant Dissonant, et participe à la création collective Mes parents morts vivants, présentée au Lynceus Festival 2019.
Elle joue dans Nous étions la forêt d’Agathe Charnet en 2024. Elle est également assistant.e à la mise en scène pour Karima El Kharraze et Tilly Mandelbrot.
Son alter ego DJ, VERGINIE DESCENTE, fait danser les corps au coeur des nuits d’été.
©DR
MAJ 17/09/24
Mathilde Domarle
Après un parcours en Arts Appliqués, Mathilde Domarle se dirige vers le spectacle vivant et commence ses études au lycée Guist’hau à Nantes, où elle obtient un DMA (Diplôme des Métiers d’Arts) en régie lumière. Elle poursuit son parcours en conception Lumière à l’ENSATT et obtient le diplôme en 2019. Elle a travaillé comme assistante aux côtés des éclairagistes Julie-Lola Lanteri (Les Beaux Ardents, Midi nous le dira) et Philippe Berthomé (Les Liaisons dangereuses, Le Monstre du Labyrinthe, Le Camion) et Kelig Le Bars (Les Sentinelles, La Tendresse). En 2020, elle crée les lumières de spectacles de danse, Killing Time, de la compagnie Duck-Billed, et de cirque avec Bambou Monnet et Gwenn Buczkowski pour L’Hiver Rude, et de théâtre pour Dédale d’un soupeur de Fugue 31. En 2022, elle reprend la régie lumière du Firmament de Chloé Dabert. En 2021, elle met en scène BEAT / Mexico City Blues, forme musicale et immersive autour des poètes et poétesses de la Beat Generation. En parallèle de son travail dans le spectacle vivant, elle est aussi peintre et a exposé ses toiles à Roubaix, Nantes, Lyon et en Italie.
MAJ 13/02/24
Léonard Bourgeois-Taquet
Léonard Bourgeois-Taquet a été formé au cours Jean Laurent-Cochet de 2011 à 2013 ; au Studio de formation théâtrale de Vitry sur Seine de 2013 à 2015. Il a joué sous la direction de Florian Sitbon (Dans ces Vents contraires, Jean-René Lemoine), Maya Ernest (Boys Don’t Cry, Jean-Gabriel Vidal-Vandroy ; Tout sera différent, Agathe Charnet), Matthieu Dessertine (La Vie de Galilée, Bertolt Brecht), Moustapha Benaïbout et Marion Noone (La dame de chez Maxim’s, Georges Feydeau), Marine Dézert (A vos marques, Marine Dézert et Anthony Carlesso), Léo Cohen-Paperman (Génération Mitterrand, Léo Cohen-Paperman et Emilien Diard-Detoeuf), Emilien Diard-Detoeuf (Dom Juan, Molière), Caroline Arrouas (Hansel et Gretel d’après les frères Grimm), Claude Leprêtre (Occupe toi du bébé, Dennis Kelly). Il a joué sous la direction de Charline Bourgeois-Tacquet dans les courts-métrages Joujou et Pauline asservie, et sous la direction de Doria Achour et Sylvain Castenoy dans la série Guépardes. Il a travaillé comme pianiste pour Marie Fortuit (La Vie en vrai, Marie Fortuit, d’après Anne Sylvestre) et Julien Romelard (Psychée, Molière).
MAJ 13/02/24
Agathe Charnet
Agathe Charnet est née en 1991. Elle partage sa vie entre le jeu, l’écriture, la mise en scène, la dramaturgie. Elle est co-directrice artistique avec Lillah Vial de la compagnie La Vie Grande, basée au Havre.
Elle a fait beaucoup (trop) d’études. Du théâtre, au Conservatoire du Xème arrondissement de Paris et au Studio de Formation Théâtrale de Vitry-Sur-Seine. Elle passe aussi par un Bachelor à l’Institut d’Etudes Politiques de Paris, un Master à l’Ecole de Journalisme de Sciences Po, une Licence de Lettres Modernes à la Sorbonne Paris-IV et en Maitrise de recherche en Lettres Arts et Pensée Contemporaines à l’Université Denis Diderot (mention très bien) puis à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales où elle est diplômée d’un Master en sociologie du genre (mention très bien) en 2020. Elle a travaillé deux ans en tant que journaliste en presse écrite et documentaire radio en France et à l’étranger (Le Monde, Arte Radio, Binge Audio, RFI).
Elle commence à écrire pour le théâtre en répondant à l’invitation d’Hakim Bah pour le Festival l’Univers des Mots de Conakry en 2017 où elle présente son premier texte Je suis Sorcière. Puis, en collaboration avec la metteuse en scène Maya Ernest et la Compagnie Avant l’Aube, elle écrit Rien ne saurait me manquer et Tout sera différent. Elle écrit et co-dirige le spectacle de sortie des élèves de deuxième année du Studio de Formation Théâtrale en 2019 et 2020 au Théâtre de l’Opprimé. Ses textes sont accompagnés par le Collectif A Mots Découverts et ont été repérés par le Festival Auteurs Lecteurs Théâtre, le Festival Textes en Cours et la Revue la Récolte où un cahier lui est consacré. Elle est lauréate de la Bourse Beaumarchais-SACD en 2020 pour Ceci est mon corps et de l’aide à la création ARTCENA 2021 (publié aux Editions l’Oeil du Prince).
En 2021-22, elle est autrice associée au théâtre de la Tête-Noire (Scène conventionnée d’intérêt national Art et création – Ecritures contemporaines Saran) et est en résidence à l’automne à la Chartreuse, centre national des écritures du spectacle, pour une commande d’écriture de Patrice Douchet, Nuits de juin autour de la jeunesse contemporaine. Elle collabore en tant que dramaturge pour Un Sacre, mis en scène par Lorraine de Sagazan (Compagnie La Brèche), création Comédie de Valence en septembre 2022.
Sa première mise en scène Ceci est mon corps (Compagnie La Vie Grande) est créée en 2022 au Théâtre de La Halle O Grains de Bayeux, est présentée au Festival En Attendant l’Eclaircie en Normandie, au Lavoir Moderne Parisien et est en tournée au Théâtre du Train Bleu au Festival d’Avignon 2022. Le texte est repéré par le Collectif A Mots Découverts, le comité de lecture des Ilets, CDN de Monluçon, le comité de lecture de la Comédie de Caen et finaliste du comité de lecture du Théâtre des Quartiers d’Ivry.
Elle est lauréate du dispositif ARTCENA Auteurs en Tandem avec Camille Chatelain sur la saison 2022-2023 pour le projet « Habiter nos colères » et de l’édition 2023 des Intrépides de la SACD au Festival d’Avignon. Elle écrit le spectacle-concert Le Dieu des Causes perdues pour la metteuse en scène Ambre Kahan dans le cadre du Festival Jeunes Créatrice de Villefranche-sur-Saône.
Attachée à la transmission, elle mène des ateliers d’interprétation théâtrale et d’écriture auprès de divers publics (ateliers avec le Théâtre Gérard Philippe, la Comédie de Reims, le Théâtre de la Tête Noire, artiste pédagogue au Préau, CDN De Vire, CDN de Besancon Franche-Comté, Festival Paris l’été…).
Elle défend une écriture théâtrale axée dans un premier temps sur la récolte de parole, le reportage et la recherche dramaturgique – à la frontière du journalisme, de l’autofiction et de la sociologie – puis en lien direct avec la mise en scène et le plateau pour créer une langue mouvante qui se (re)modèle constamment au plus près des artistes comme des sursauts du monde.
Agathe Charnet se définit comme une autrICE, engagée pour une autre représentation des genres et des sexualités LGBTQIA+ dans les textes dramatiques contemporains.
MAJ 13/02/24
Leïla Muse
D’origine anglaise, Leïla Muse grandit à Pantin en Seine-Saint-Denis. Après deux années en Classe Libre sous la direction de Jean-Pierre Garnier, elle intègre le Théâtre National de Strasbourg en 2017 où elle a pu suivre les enseignements de Stanislas Nordey, Laurent Poitrenaux, Julien Gosselin, ou encore Valérie Dréville. En 2019, elle met en scène Oussama, ce héros de Dennis Kelly dans l’Autre Saison du TNS. Après être sortie diplômée du TNS en 2020, elle joue au théâtre sous la direction de Julie Duclos, Julien Gosselin, Arnaud Anckaert, Bérangère Jannelle et Simon-Elie Galibert. En parallèle, elle joue également au cinéma, notamment dans Pupille de Jeanne Herry, L’événement d’Audrey Diwan, et Bowling Saturne de Patricia Mazuy.
MAJ 30/01/24
Elios Noël
Elios Noël se forme à l’école du TNB à Rennes, et joue à plusieurs reprises sous la direction de Stanislas Nordey. Il joue également dans les spectacles d’Éléonore Weber et de Patricia Allio (Je m’appelle Vanessa de Laurent Quinton puis dans Rendre une vie vivable n’a rien d’une question vaine au festival d’Avignon 2007 ainsi que dans Primer mundo en 2012).
Il est acteur pour la compagnie Lumière d’août dans le projet Ciel dans la ville d’Alexandre Koutchevsky entre 2007 et 2011 (à Rennes, Bamako et Ouagadougou), dans Blockhaus (2014), dans Ca s’écrit TCH (2017) et dans Rivages (2021). Il joue dans À la racine de Marine Bachelot Nguyen (au TNB en 2011). Il a travaillé avec la compagnie La nuit surprise par le jour : Le bourgeois, la mort et le comédien, mis en scène par Eric Louis, et dans Le songe d’une nuit d’été, mis en scène par Yann-Joël Collin à l’Odéon (en 2008). Avec Jean Pierre Baro, il joue dans Ivanov, Woyzeck et Gertrud. Il a travaillé également avec Myriam Marzouki (Le début de quelque chose d’Hugues Jallon au festival d’Avignon 2013) ainsi qu’avec Christine Letailleur (Le Banquet de Platon en 2012), Pascal Kirsch (Pauvreté, richesse, homme et bête en 2015 et Solaris en 2021), David Geselson (En route-Kaddish en 2015, Le silence et la peur en 2020 et Neandertal au festival d’Avignon 2023), Nicolas Stemann (Nathan?! en 2016), Jeanne Desoubeaux ( Ce qu’on attend de moi en 2018) et Caroline Guiela Nguyen (Fraternité-Conte fantastique au festival d’Avignon 2021).
Il enregistre de nombreuses fictions pour France Culture avec Cedric Aussir, et tourne au cinéma dans les films de Justine Triet, Melisa Godet, Aurélia Hollart, Camille Fleury et Pierre-Emmanuel Fillet.
MAJ 30/01/24
Félix Kysyl
Après un passage à la Classe Libre du cours Florent, Félix Kysyl intègre le Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique en 2012.
Au théâtre, Félix Kysyl a travaillé sous la direction de Richard Brunel, Lukas Hemleb, Guy-Pierre Couleau et Arnaud Meunier (sur des textes notamment de Pauline Sales et de Fabrice Melquiot), Philippe Baronnet (Maladie de la Jeunesse de Ferdinand Bruckner et Quai Ouest de B-M Koltès), Gilles-Vincent Kapps et Sandrine Molaro (Mme Bovary de Flaubert), Jeanne Frenkel et Cosmé Castro (Le Bal de Jeanne Frenkel et Cosmé Castro), et Bérangère Jannelle (Lucy in the Sky est décédée et El Levir et le livre de Alain Damasio).
Au Cinéma, on a pu le voir dans Chocolat de Roschdy Zem, L’amant d’un jour de Philippe Garrel, Le Redoutable de Michel Hazanavicius, Des Hommes de Lucas Belvaux, et en 2024 dans Miséricorde d’Alain Guiraudie et De Gaulle d’Antonin Baudry.
A la télévision, on a pu le voir dans Malaterra, réalisé par Jean-Xavier de Lestrade, et en 2024 dans La Fièvre de Ziad Doueiri.
MAJ 30/01/24
Sandrine Juglair
Juglair de son prénom Sandrine est passée par les écuries du CNAC (Centre National des Arts du Cirque). Elle sort diplômée en 2008 avec le spectacle La part du loup mis en piste par Fatou Traoré. Depuis elle a vécu multiples expériences en tant qu’interprète notamment avec Cahin-Caha, Cirque Plume, Les Colporteurs, la Compagnie Inhérence ou encore Anomalie & cie…
En 2012, elle se frotte une première fois au travail d’autrice avec son acolyte Jean-Charles Gaume pour la forme courte J’aurais voulu puis a définitivement sauté le pas en 2017 pour créer son premier solo DIKTAT, sorte de one woman show tragi-comique.
En parallèles de ces collaborations artistiques, elle continue ses recherches sur les représentations et crée Plastic Platon en duo avec Julien Fanthou (alias Patachtouille) pour les Vive le Sujet ! du Festival d’Avignon 2021 et sort son deuxième spectacle DICKLOVE en novembre 2021 au Manège de Reims.
Clyde Yeguete
Comédien fraîchement sorti du Conservatoire national, Clyde Yeguete a notamment suivi la Classe Libre du Cours Florent où il a pu travaillé avec Igor Medjinsky, Stanley Weber, Carole Franck et Julie Sicard de la Comédie Française. Il travaille avec Joël Dragutin dans Moi, Daniel Blake, d’après le film de Ken Loach. Nada Strancar, au Conservatoire, l’a mis en scène dans les œuvres de Corneille Cinna et La Galerie du Palais. Il joue sous la direction de Pierre Notte dans L’Homme qui dormait sous mon lit, Comme nous pardonnons aussi, et dans Un certain penchant pour la cruauté de Muriel Gaudin. Avec Alexis Michalik, il joue dans Le Cercle Des Illusionnistes. Il tournera prochainement dans le 3eme film de Leonor Serraille.
©DR
MAJ 15/01/24
Mama Bouras
Née en 1996, Mama Bouras habite à Marseille. Elle intègre la compagnie Vol plané dans le groupe des 15 en 2014 pour ensuite entrer à l’ERACM en 2017 dans l’ensemble 27. À sa sortie d’école, elle joue dans le Hamlet de Gérard Watkins jusqu’en 2022. Elle tourne dans plusieurs films dont Stillwater, Corniche Kennedy, Bâtiment 5 et Le gang des bois du temple. Elle est aussi réalisatrice, directrice de casting et scénariste. En théâtre, elle travaille avec François Cervantès, Nadia Vonderheyden et Olivier Py.
