Kelig Le Bars

Née en 1977, et originaire de Nantes, c’est d’abord par un rapide passage par la scène rock que Kélig Le Bars découvre la création lumière pour le spectacle. Elle intègre l’école du Théâtre National de Strasbourg en 1998 où elle suit notamment les enseignements de Jean-Louis Hourdin, Yannis Kokkos, Laurent Gutman, Stephane Braunschweig.

Depuis sa sortie de l’école en 2001, elle crée les lumières pour les spectacles de Eric Vigner, Sylviane Fortuny, Christophe Honoré, Christophe Rauck, Guy-Pierre Couleau, Giorgio Barberio Corsetti, Jacques Bonaffé… Grâce au Jeune Théâtre National elle rencontre plusieurs metteurs en scène de sa génération dont elle signe plusieurs créations et qu’elle accompagne depuis fidèlement. Depuis, elle a donc travaillé pour Olivier Balazuc, François Orsoni, Julia Vidit, Vincent Macaigne, Alice Laloy, Julien Fišera, Chloé Dabert, Marc Lainé, Le Groupe Incognito, Julie Bérès, Guillaume Vincent, Lucie Berelowitsch, Hedi Tillette de Clermont-Tonnerre, Lazare, Tiphaine Raffier, Matthieu Cruciani…

Travaillant souvent à partir de la structure même des lieux qui accueillent les spectacles, elle dessine des espaces singuliers pour des lieux aussi illustres que le Théâtre des Bouffes du Nord, le Théâtre National de Chaillot, Le cloitre des Carmes, Le cloitre des Célestins et la cour du Lycée Mistral pour le Festival d’Avignon.

A L’Opéra, elle met en lumière L’Italienne à Alger de Rossini pour l’Opéra de Montpellier (m.e.s. E. Cordoliani), crée pour Eric Vigner les lumières de l’Orlando de Haendel pour l’Opéra Royal de Versailles. Pour Guillaume Vincent, elle éclaire en 2016 Curlew River de Britten et Le Timbre D’argent de Camille Saint-Saens à L’Opéra Comique en 2017. Elle travaillera cette saison aux cotés de Matthieu Cruciani pour Le Journal d’Hélène Berr monodrame de B. Foccroulle pour l’Opéra National du Rhin.

Cette année, on pourra voir son travail notamment dans Avant la terreur de Vincent Macaigne, La Réponse des Hommes et Némésis de Tiphaine Raffier, Je vis dans une maison qui n’existe pas de Laurène Marx, Un soir de gala de Vincent Dedienne, La Tendresse de Julie Bérès, et au Festival d’Avignon In avec Noé Soulier pour sa nouvelle chorégraphie Close Up.

Kelig le Bars est chargée de cours à l’Institut d’Etudes Théâtrales, Censier/ Sorbonne nouvelle depuis la rentrée 2018.

Jessica Guilloud

Jessica Guilloud est artiste interprète, metteur en scène et réalisatrice. Son travail navigue entre fiction et documentaire. Elle raconte des histoires intimes pour en aborder les enjeux politiques et pour produire des savoirs situés. Ses pratiques sont nourries de ses différentes formations en sciences sociales, littérature et arts dramatiques.

Dès son jeune âge, elle pratique la flûte traversière, entretient un sens de l’humour espiègle et de grandes capacités vocales. Elle se forme au CRR de Lyon en musique classique, dans les licences de Lettres Modernes et d’Anthropologie à l’Université Lumière Lyon 2, puis en Art dramatique au Conservatoire royal de Mons en Belgique. En parallèle, elle est maçonne et travaille bénévolement dans des collectifs solidaires de lutte pour la régularisation, le droit au logement, l’antiracisme, l’antisexisme…

Depuis 2020, elle est accompagnée par sa chienne Johnny dans la plupart de ses projets. De 2021 à 2023, elle était co-porteuse du collectif théâtrale Mégafeux, et actrice dans son spectacle La Litière, une science-fiction post-punk queer – spectacle à destination de lieux et de réseaux alternatif et non-institutionnels. Elle est comédienne dans des films : avec Johnny dans Mourir à Ibiza de Léo Couture, Mattéo Eustachon et Anton Balekdjian (6 prix au FID Marseille) en 2022, puis dans Chico de Théo Abadie en 2023 (disponible sur Arte).

Elle réalise en 2024 Ceux qui me restent, son premier documentaire auto-produit et soutenu par la SCAM. Elle travaille en ce moment sur son premier long-métrage Sa Majesté, co-réalisé avec Tea Oda.

Sa collaboration avec Laurène Marx commence en mars 2023, d’abord comme assistante à la mise en scène pour Je vis dans une maison qui n’existe pas, puis comme co-auteure et interprète de Jag et Johnny. Elle est aussi assistante à la mise en scène de son prochain spectacle Portrait de Rita.

MAJ 14/05/25

Flavien Beaudron

Né à Alençon en 1999, il suit des études d’Arts du spectacle à l’Université de Caen, en Normandie, qu’il complète avec une année d’étude en danse à l’Université de Lille.
En 2018, il fonde le collectif La Grenade Égarée, et met en scène Lucrèce.s Borgia, une réécriture de la pièce éponyme de Victor Hugo. S’ enchaînent de nouveaux projets : Incendie de l’amour et Garde à nous.
Enfin, depuis l’ année 2021, il s’essaye à l’assistanat à la mise en scène dans différents projets. C’est d’abord Céline Ohrel, artiste associée de La Comédie-CDN de Caen, qui lui propose de l’accompagner sur son seul en scène My story. Il assiste également Élise Vigier sur la création Anaïs Nin qu’il accompagne jusqu’au Festival In d’Avignon.
Lors de la saison 2022/2023, il est assistant à la mise en scène sur le spectacle M comme Meliès de Marcial Di Fonzo Bo et d’Élise Vigier – Molière jeune public 2019.
Pour la saison 23/24, il travaille notamment avec Théo Askolovitch en tant qu’assistant à la mise en scène à Théâtre Ouvert (Paris) sur la création Zoé (et maintenant les vivants), et Céline Ohrel sur Summertime. Il travaille également avec Élise Vigier sur Nageuse de l’extrême à la Comédie de Caen et à Théâtre Ouvert. Il accompagne Léna-Bokobza-Brunet sur sa création Médusée, lauréate du dispositif Jeunes Pousses de la Maison Maria Casarès.
Pour la saison 24/25, il fait partie du dispositif Millénial Academy porté par la Comédie de Caen, le CCN de Caen en Normandie, de l’ESAM, Le Sablier, Le Frac et d’ autres dans le cadre du Millénaire de Caen. En parallèle, il joue, co-met en scène un spectacle nommé My loneliness is killing me avec la compagnie Diplex. Il travaille en parallèle sur sa prochaine création Let me (not) alone – In Yer Face.

©DR
MAJ 27/03/25

 

 

 

Marion Joffle

Dans le grand bain

Née en Normandie, Marion saute dans le grand bain à l’âge de 8 ans. En vacances dans le sud de la France, elle est attirée par un toboggan mais ne peut malheureusement pas l’utiliser car elle ne sait pas encore nager. Cette année-là, elle apprend à nager, se découvre une passion pour la piscine et décide de participer à des compétitions. C’est seulement 4 ans après, lors de ses entraînements à Caen, que la jeune nageuse découvre la nage en eau libre.

Ce n’est pas son seul combat car très jeune, Marion est atteinte d’un cancer des tissus mous, une maladie orpheline. Quelques années plus tard elle arrive au bout de celle-ci avec une amputation du majeur de la main droite. C’est pour cette raison qu’elle crée l’association Hell’eau la Vie qui met en œuvre des actions sportives et culturelles contre le cancer des enfants.

Le rêve de sa vie

En 2017, à l’âge de 18 ans, Marion se lance le défi de parcourir la Manche en nage libre. Ce n’est pas la seule à avoir ce désir car depuis 1975, 15 000 nageurs ont essayé d’atteindre ce même objectif. C’est le 21 août 2022 que Marion arrive à réaliser le rêve de sa vie, et va même plus loin car grâce à sa performance (9h22min) elle bat le record de France féminin de la traversée de la Manche.

Le « pingouin souriant » ne recule devant rien

En quête de nouveaux défis, la jeune nageuse parcourt le monde à travers les compétitions. Avec le soutien de sa mère, Marion donne toujours le meilleur d’elle-même et collectionne les victoires. Par exemple, en 2018, elle devient la plus jeune nageuse du monde à avoir nagé un 1 000 mètres, ou encore, en 2022 lors d’une compétition en Pologne où elle remporte 5 titres mondiaux.

Certes cette discipline peut provoquer de lourds effets secondaires comme la perte de sensation des membres inférieurs mais le « pingouin souriant » ne recule devant rien et cherche toujours à se dépasser.
Elle se lance aujourd’hui un défi mondial : réaliser un Ice Mile, une épreuve de 1 609 mètres, sur chaque continent du globe. Elle participe dès le 19 février au Ice Mile en Autriche.

©Florent Schneider
MAJ 13/02/24

Élise Vigier

Elise Vigier a suivi la formation de l’École du Théâtre National de Bretagne. En 1994, elle crée avec les élèves de sa promotion Les Lucioles, un collectif d’acteurs.

De 2015 à décembre 2023, elle est artiste associée à la direction de la Comédie de Caen – CDN de Normandie. De septembre 2016 à juin 2020, elle est artiste associée à la MAC de Créteil.

Elle co-met en scène plusieurs spectacles avec Marcial Di Fonzo Bo, notamment des pièces de Copi, Rafaël Spregelburd, Martin Crimp, Petr Zelenka. Avec Frédérique Loliée, elle joue et met en scène en duo l’écriture de Leslie Kaplan, Déplace le ciel et Louise, elle est folle, Toute ma vie j’ai été une femme.

Comme actrice, elle joue principalement dans des mises en scène de Marcial Di Fonzo Bo, Pierre Maillet, Bruno Geslin, Brigitte Seth et Roser Montlló Guberna. Dernièrement, elle joue dans Mes jambes, si vous saviez quelle fumée, une reprise d’un spectacle créé autour de la figure de Pierre Molinier et mis en scène par Bruno Geslin.

Dans le cadre d’un projet européen, elle réalise un documentaire Les femmes, la ville, la folie 1. Paris. Elle co-réalise également, avec Bruno Geslin, un moyen métrage La mort d’une voiture et écrit, avec Lucia Sanchez et Frédérique Loliée, à la réalisation de films courts intitulés Let’s Go dans lesquels elles jouent également.

En novembre 2017, elle a mis en scène Harlem Quartet d’après le roman Just Above My Head de l’auteur américain James Baldwin créé à la MAC de Créteil. En janvier 2018, elle signe avec Marcial Di Fonzo Bo M comme Méliès à la Comédie de Caen. Le spectacle a reçu le Molière du spectacle Jeune public en 2019.

Et Kafka dans les villes en co-mise en scène avec Frédérique Loliée et la collaboration de Gaëtan Levêque pour le cirque dans le cadre de Spring en mars 2018 sur une composition de Philippe Hersant pour l’Ensemble Sequenza 9.3 à partir de Premier Chagrin de Franz Kafka.

En 2020, elle met en scène Le Royaume des animaux de Roland Schimmelpfenning avec Marcial Di Fonzo Bo à la Comédie de Caen. En janvier 2021, toujours en co-mise en scène avec Marcial Di Fonzo Bo, elle monte un deuxième spectacle jeune public autour de la figure de Buster Keaton.

En mai 2021, elle met en scène, aux Plateaux Sauvage à Paris, Le monde et son contraire – Portrait Kafka de Leslie Kaplan. En juillet 2022, elle met en scène, au Festival d’Avignon, Anaïs Nin au miroir d’Agnès Desarthe, d’après L’Intemporalité perdue et autres nouvelles d’Anaïs Nin. Et en 2023/2024, elle mène un projet européen Voyages avec K. autour de l’écriture de Franz Kafka et Leslie Kaplan.

©Christophe Raynaud de Lage
MAJ 13/02/24

Amandine Grousson

Amandine Grousson est artiste interprète indisciplinaire et boxeuse.
Elle vit et travaille entre Marseille et le reste de la France. Elle jouit d’une formation à la fois théorique en Art dramatique, avec un bac option Théâtre et une licence en Lettres et Arts du spectacle, et d’un parcours professionnel à l’école de Théâtre A ainsi qu’à travers nombre de stages, avec notamment Etienne Pommeret, le Birgit Ensemble, le Collectif In Vitro, Simon Delattre, Manon Worms, Hakim Bah… En tant qu’actrice, elle navigue avec plusieurs compagnies sur un répertoire d’écritures contemporaines dans notamment Crises de L. Norén (cie Träumer, qu’elle co-crée en 2012 à Strasbourg), Les Idiots, de C. Galéa (cie Coup de Chien), LA BALLE, de Marion Bouquet (cie Le Veilleur) et Requin Velours.
En tant qu’auteure-interprète, elle s’aventure dans la rue avec Parfum Subtil (2022), une déambulation qui questionne la place des femmes dans l’espace public, ainsi que dans les bars et les appartements avec des écritures de plateau collectives comme Chasse à la Grive (2019) ou Tout le monde s’appelle Maurice (2018).
Sa sensibilité aux disciplines du mouvement la pousse à explorer des formes hybrides. C’est dans la création d'(ÂME)SOEUR (2022) qu’elle rencontre la danseuse, metteuse en scène et chorégraphe Esther Meunier Corfdyr, qui l’invite à danser dans Promenade Chorégraphique (2020) et Dors (en cours). Récemment, elle assiste Laurence Mayor à la mise en scène et au travail du corps de Balto ou l’ivresse des libellules, écrit et interprété par Sarah Ulysse.
Enfn, elle est pédagogue auprès de différents publics au sein d’écoles, de collèges, de lycées, d’universités et de centres socio-culturels depuis 2014. Aujourd’hui, Amandine mène un travail d’écriture scénique sur les liens sororaux, avec la complicité de l’auteure et metteuse Magalie Ehlinger et l’actrice Sarah Ulysse.

©DR
MAJ 23/04/24

Cécile Mourier

Cécile Mourier est une artiste gender queer, actrice et metteuse en scène.
Elle se forme au Conservatoire d’art dramatique de Strasbourg de 2010 à 2013 et suit en parallèle une licence en arts du spectacle à l’Université de Strasbourg. Elle co-dirige la compagnie Coup de Chien à Strasbourg et met en scène Les Enfants d’après Edward Bond (2016), Les idiots de Claudine Galea (2018) et Quartier 3 : Destruction Totale de Jennifer Haley (2021).
Elle joue pour différentes compagnies ici et là ; la cie Conférence pour les arbres, Sorry Mom, Les Méridiens, G2L compagnie, Dinoponera Howl Factory, la cie S’appelle Reviens, La Part des Anges… Elle tourne aussi pour Alain Tasma, Clément Michel, Adèle Perrin, Alix Poisson, Kim Massee, Bruno Garcia, Medhi Fikri.
Elle mène également des actions artistiques avec divers publics ; adultes amateurs, adolescent.e.s, personnes détenues, personnel médical et personnes précaires. La plupart de ses œuvres sont empreintes de questions queer et de militantisme.

 

©DR
MAJ 23/04/24

 

Mécistée Rhea

Mécistée Rhea est un·e artiste non-binaire franco-espagnol·e, basé·e à Strasbourg. Après un DNSEP à la Haute Ecole des arts du Rhin, iel fonde la Cie Conférence pour les Arbres, notamment soutenue dans ses créations par la DRAC Grand-Est et l’Agence Culturelle du Grand-Est, et dont iel reste la directeurice artistique. Iel co-signe le texte de la pièce À la tâche à venir (Celle d’enterrer le monde), avec Nanténé Traoré, publiée à la rentrée littéraire 2024 aux éditions Gorge Bleue.

Comédien·ne, performeur·se, metteur·se en scène et plasticien·ne, Mécistée mène un travail autour de l’effondrement. Depuis plusieurs années, iel crée de multiples imaginaires de l’après, défendant que c’est dans ces écritures que l’on trouve des armes face à la fin du monde. C’est l’acte de connexion qui est au centre de son discours politique et artistique, celui de créer des liens entre les territoires amis, sans passer en terre hostile.

 

©DR
MAJ 23/04/24

Ondine Trager

Fille de circassiens, Ondine Trager découvre très tôt le cirque. Elle y pratique le jonglage ainsi que le fil de fer à l’école de cirque d’Annie Fratellini. Elle suit ses parents dans leurs aventures circassiennes : au Cirque Baroque, chez Archaos et au Cirque Romanès… Après un baccalauréat littéraire, elle débute ses études universitaires à Strasbourg en arts du spectacle, option théâtre, sous la direction d’Olivier Neveux et intègre en 2011 l’École nationale supérieure d’Art dramatique du Théâtre national de Strasbourg en section Régie/Création.

A la fin de ses études, Ondine se dirige vers la conception lumière et collabore avec Jean-Marc Eder (La grâce, 2015 et Freetime, 2016), avec le chorégraphe Tomeo Vergés (Coming out, 2015, Meurtres d’intérieurs, 2016 et PRIMAL en 2018), avec Antoine Gindt (pour l’opéra Iliade l’amour, 2016), avec Benjamin Abitan et le Théâtre de la démesure (Une piètre imitation de la vie, Temps de pose, Le grand trou, 2018), avec Marie Marfaing (Lignes de fuite, 2017), avec le collectif Milieu de terrain (Dénivelé, 2021), avec Paul Schirck (Cosmik-Debris, 2019).

De projets en projets, Ondine oriente son travail vers une pensée dynamique de la lumière et joue avec les mouvements rythmiques du plateau. Par sa présence cinétique et visuelle la lumière participe à la dramaturgie d’ensemble. Quand l’occasion se présente, Ondine active la lumière à vue et devient performeuse d’une conduite lumière. C’est dans le prolongement de ces recherches qu’elle collabore aujourd’hui avecAntoine Cegarra (Hantologie(s), Cantique Quantique, 2021, Le renard de l’histoire, 2022), avec Akiko Hasegawa (Haré Dance, 2023), avec Juliette Steiner pour la Cie Quai n°7 (AphrodIT, 2018, Services, 2020, Une exposition, 2024).

© Laetitia Piccarreta
MAJ 23/04/24

 

Camille Nozay

Camille Nozay est une artiste plasticienne basée à Strasbourg.
Particulièrement sensible à la texture sous toutes ses formes, le textile est son médium de prédilection et l’expérimentation occupe une place primordiale dans son processus de création. Elle puise souvent son inspiration du quotidien et des petits rien récoltés qui deviennent sa matière première.
Après un cursus en Design de Mode et Environnement et différentes expériences dans le milieu de la mode parisienne en tant qu’assistante styliste, elle intègre la Haute Ecole des Arts du Rhin (68).
Diplômée en Design Textile en 2020, elle collabore depuis avec des compagnies de théâtre françaises pour lesquelles elle est costumière et scénographe.
Elle coordonne et anime également des ateliers artistiques donnés à M33 – ateliers multidisciplinaires et partagés avec dix autres membres – à Strasbourg.

 

©DR
MAJ 23/04/24