Seuls les vivants peuvent mourir

Tapuscrit 132, 2015

La grand-mère n’a plus toute sa tête et la fille a eu un accident de voiture. Le père ne sait plus quel rôle jouer, le fils est absent, la mère sauve les apparences et le fiancé cherche sa place.

Comme dans toute histoire de famille, il y a des non-dits et des secrets. Et cette impossibilité de mettre des mots gangrène tous les rapports.

Cette pièce aborde, avec tendresse et poésie, la question de la fin de vie. Sans stigmatiser les débats autour de l’euthanasie, elle met au jour la difficulté pour une société à être cohérente et à se projeter dans l’avenir alors qu’elle se dissout dans le seul présent.

 

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