Deux morceaux de verre coupant / Le petit frère des pauvres

Tapuscrit 104, 2003

Deux morceaux de verre coupant 
Portrait au vitriol d’une famille type : père, mère, fils, fille. Un monde où il n’y a pas de lois. C’est ainsi que le fils collectionne des petites filles en bocaux, tandis que la fille remplace la mère dans le lit du père. Une succession d’horreurs dans un univers déréglé où, forcément, ça se termine mal, très mal.
Personnages : 3 F, 2 H et +

Le petit frère des pauvres
Un Artiste est tenté de quitter les sphères du bon goût mondain et sa Femme Objet d’Art pour s’aventurer dans les miasmes du monde microbien, représenté par une Femme Objet Domestique ¦ Artifice contre réalité, art bourgeois contre art prolétaire, deux mondes s’entrechoquent ¦ et se rejettent. La fable politique peut se lire en creux dans ce drame où esthétique et morale s’affrontent.
Personnages : 2 F, 5 H

Une langue travaillée pour être musicale. La démarche de cet auteur de 30 ans tranche singulièrement avec la production théâtrale en matière d’écriture.
Mario Batista a fait des études de lettres classiques, a été comédien, a écrit des textes de chansons avant de se consacrer entièrement à l’écriture. Il a retenu l’attention de la Commission d’Aide à la Création qui lui a attribué plusieurs aides à l’écriture.

Ces deux textes se veulent une réflexion politique sur notre monde, sur l’art, le sexe, la violence faite à l’individu, à travers des situations parfois cocasses, mais toujours en définitive, tragiques.

10 €

Bon de commande

Mario Batista
Tapuscrit 104, mars 2003