Festival ZOOM #9

Jag et Johnny

Mardi 21 mai à 20h

Jag vient de la classe populaire rurale blanche. Elle parle de la maison où elle a grandi, de ses oncles et tantes et elle raconte les anniversaires à la salle des fêtes, les mariages, le cocon familial dysfonctionnel, la culture télé, l’alcoolisme. Ça parle aussi de folie, de précarité et de violence… Coincée entre deux classes, telle une errante, Jag nous plonge dans un retour au bercail, avec toute la complexité qu’il engendre.

La rencontre entre la langue de Laurène et le phrasé de Jag donne un parler percutant et rythmé, chargé d’un vécu qui touche et qui fait passer du rire aux larmes plus d’une fois. Le spectacle prend la forme d’un stand up qui ne cherche pas à faire rire, un stand up triste. La parole intime, les détails racontés par la personne qui les a vécus, sont un précieux témoignage de l’expérience de transfuge et du classisme qui structure la société. 

Jag et Johnny, c’est l’histoire de Jag et de son chien Johnny, racontée par Jag à Laurène et comment leur plaisir d’être ensemble leur permet d’échapper au classisme qui conditionne l’amour entre humain·es. 

EXTRAIT

J’me rends compte en rentrant dans ma famille que je suis jamais exactement moi-même, je veux dire hors du langage que j’utilise…attend je sais pas comment expliquer ça… je veux dire que je parle d’une certaine manière à mes amis et mes amis bourges et que quand je rentre et que je mets mon pyjama pour parler à ma grand-mère c’est un autre langage, c’est la même langue mais c’est un autre langage, c’est pas les mêmes tournures de phrase et que… attend ce que je veux dire… c’est que je suis jamais rien d’autre qu’une personne qui essaie de se faire comprendre, je suis jamais que la version de moi-même présente dans la pièce qui s’exprime d’une manière pour exister parmi les autres de la pièce… et quand je suis seule j’ai que le langage de mes pensées et ça je sais pas si c’est vraiment moi non plus mais du coup j’ai l’impression que je tourne en permanence autour des tournures… que ce que je suis c’est cet effort surhumain pour être comprise…
©DR
PRODUCTION Cie Je t’accapare / Bureau des Filles

Texte et mise en scène Laurène Marx, Jessica Guilloud
Avec Jessica Guilloud et son chien

Durée : 1h
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Festival FOCUS #9

Les Incendiaires

Mercredi 22 novembre à 20h30

Après sept ans d’absence, Zakariya de Sarles profite des funérailles de sa grand-mère pour revenir dans la maison de son enfance. Ce n’est pourtant pas pour honorer la mémoire de la défunte que le jeune homme – membre d’une ligue religieuse meurtrière – fait son retour, mais pour rétablir la justice, au nom des innombrables victimes silencieuses du laboratoire pharmaceutique dont Adrien – son oncle, puis père adoptif – est l’actionnaire majoritaire. Par la capture de son oncle, cet héritier qu’on avait envoyé en pension alors qu’il était adolescent précipite l’implosion d’une famille fortunée, gangrénée par le mensonge, les non-dits, et des rapports de force aliénants.

   

 

©Christophe Raynaud de Lage

Texte et mise en voix Nicolas Girard-Michelotti
éditions Les Solitaires Intempestifs
en collaboration avec Alain Françon
Avec Christiane Cohendy, Alexandre Gonin, Guillaume Lévêque, Antonin Meyer Esquerré, Mathieu Perotto, Georgia Scalliet, Rebecca Tetens, Éric Verdin

Durée : 1h30
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Festival FOCUS #9

Lac artificiel

Mercredi 29 et jeudi 30 novembre à 20h

Laura et Salomé sont inséparables. Un samedi soir, au milieu d’un été, les deux adolescentes marchent le long de la route départementale, à la lisière de la forêt, à la recherche d’un endroit où faire la fête. Avec pour seul repère la signalétique fluorescente du bitume, elles cherchent leur chemin. Hors de la nuit, vers leurs souvenirs, à la dérive, dans un monde qui tangue, elles assistent à leur propre chute et à l’effritement de leur relation.

Dans cette pièce, Marine Chartrain évoque le moment charnière que représente l’adolescence, son instabilité, ses troubles, ses transformations. L’autrice façonne des dialogues vifs et réussit à ancrer avec justesse des monologues dans des situations concrètes d’une grande force scénique.

Remerciements Ludovic Lagarde, Antoine Oppenheim
©Jacob Stambach

Texte Marine Chartrain
Éditions Théâtre Ouvert | TAPUSCRIT
Mise en voix Céleste Germe
Collaboratrice artistique et jeu Maëlys Ricordeau
Création sonore Jacob Stambach
Dispositif son et vidéo Jérôme Tuncer

 

Durée : (estimée) 1h20
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Festival FOCUS #9

Carte blanche à Nicolas Maury – Est, de Philippe Minyana

Samedi 18 novembre à 20h

Est est un chant à deux voix spécialement écrit pour Nicolas Maury. L’épopée d’un rescapé qui revient au monde.

Un homme revient de la guerre. Il parle à un autre homme qui est dans l’ombre, qui l’écoute. L’homme qui revient de la guerre évoque un ami avec qu’il a fui ; qui a perdu la vie ; mais c’est surtout le retour dans les pays en paix et l’émerveillement de redécouvrir les gestes ordinaires des existences qui fascinent et bouleversent le parleur. L’homme qui est dans l’ombre est un instituteur fou de lecture. Les deux gars, qui se sont rencontrés par hasard, deviennent amis, se confient et le parleur entraîne l’instituteur dans son périple. Et les voilà dans la maison familiale du parleur ; ensemble ils traversent ces lieux de mémoire et de vie…

Le texte est publié aux Solitaires Intempestifs.

©Christophe Raynaud de Lage

Texte Philippe Minyana
Ed. Solitaires Intempestifs
Par et avec Nicolas Maury, Philippe Minyana

Durée : 50 min
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Samedi 25 novembre à 20h

Deux meilleures amies, Lomane et Mélodie, décident de mettre un terme à leur colocation et par la même occasion, à leur amitié.

Au fil des pièces de l’appartement désert qu’elles traversent une dernière fois pour s’assurer de n’avoir rien oublié, elles replongent dans les souvenirs, elles rejouent les temps forts et les lieux communs de leur histoire.

Cet ultime état des lieux pour essayer de comprendre où l’amitié est tombée en pièces.

Après Drame Bourgeois, Murmures est le deuxième volet d’un triptyque avec et pour l’actrice Lomane de Dietrich. Ces textes visent à la construction d’un langage dans la déconstruction des rapports, comme une autopsie des ruptures sociales et intimes. Trois quêtes : l’amour, l’amitié, la famille.

MÉLODIE – Qu’est ce que tu veux que je te dise, c’est comme ça, la première personne du singulier est la chose qui m’émeut le plus au monde.
Je suis une ogresse
Je dévore les histoires
J’avale celles des autres
Toujours des histoires à raconter
J’essaye d’écrire la joie et l’amour parce que.
Parce qu’elles sont invisibles, seules les batailles restent en mémoire.

LOMANE – Tu n’écris que des conflits.

MÉLODIE – Alors c’est que j’échoue.

©Joseph Banderet
REMERCIEMENTS Louis Battistelli, Camille Bernon, Léna Bokobza-Brunet, David Clavel, Jeanne d’Antoine, Grégory Gabriel, Martin Kergourlay, Olenka Ilunga, Eva Lallier Juan, Claire Lasne-Darcueil, Anne Leprince-Ringuet, Grégoire Leprince-Ringuet, Claire-Lise Moreau, Clyde Yeguete
 

Texte et mise en voix Padrig Vion
Avec Mélodie Adda, Lomane de Dietrich
Collaboration artistique Lolita de Villers

Durée : 1h15
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Festival FOCUS #9

Requin velours

Mercredi 15 et jeudi 16 novembre à 20h

Un été, Roxane est victime d’un viol. Le soir même, elle rencontre Joy et Kenza, les « Loubardes », qui deviennent ses amies. Avec leur soutien, Roxane tente d’obtenir réparation par le récit, le rêve et la fiction. Elle devient ensuite travailleuse du sexe et, peu à peu, se transforme en requin et renverse la violence. C’est l’histoire d’une quête de réparation.

Ce n’est pas tant du viol comme acte qu’il est question que des récits intimes et politiques autour de celui-ci : les récits procéduraux, judiciaires, ceux cathartiques, libérateurs et ceux qui cherchent à comprendre, à donner du sens. C’est une histoire singulière et sensible, une mise à nu des paradoxes, des hontes, des émotions, des nuances et des dialogues intérieurs qui font suite à une agression. C’est un sujet grave et pourtant banal, abordé comme seules des personnes concernées pourraient le faire : avec le décalage qui permet le rire, avec la douceur qu’il faut pour parler de la violence. Avec la poésie nécessaire.

Requin Velours est un texte brut et onirique, qui parle du travail du sexe, de la réparation, mais aussi de sororité, d’amitié et d’amour lesbien. C’est une quête à trois voix, une performance physique, poétique et politique.

REVUE DE PRESSE

L’Oeil d’Olivier : « Gaëlle Axelbrun donne vie avec une belle énergie à sa prose et touche au cœur. Plein de belles promesses, Requin velours saisit par son écriture sincère, sa plume brute autant qu’imagée. »

 

CRÉATION 2024-25 au TAPS – Théâtre Actuel et Public de Strasbourg

©Christophe Raynaud de Lage
PRODUCTION compagnie Sorry Mom
SOUTIENS TAPS – Théâtre Actuel et Public de Strasbourg, Théâtre Ouvert – Centre National des Dramaturgies Contemporaines, Centre des bords de Marnes, La Pokop, Bliiida, DRAC Grand Est, Région Grand Est, Haute École des Arts du Rhin, collectif À mots découverts, la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon – CNES
Administration Alain Rauline
Remerciements Laurent Poitrenaux, Laurène Marx
Ce projet est soutenu par le dispositif Jeunes ESTivants de Scènes et Territoires de la DRAC Grand Est et par la bourse Expériences de Jeunesse de la Région Grand Est. Ce texte a bénéficié d’un accompagnement par le collectif À mots découverts (Paris). Texte lauréat des Voix du bivouac de la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon, juillet 2023.

Texte et mise en espace Gaëlle Axelbrun
Avec Mécistée Rhea, Cécile Mourier, Amandine Grousson
Assistanat Florence Weber
Scénographie Gaëlle Axelbrun
Costumes, assistanat scénographie Camille Nozay
Lumière Ondine Trager
Création sonore Maïlys Trucat

Déconseillé aux moins de 16 ans
ATTENTION : Cette pièce traite de violences sexuelles

Durée : 1h30
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Festival 8e Festival du Jamais Lu Paris

Ma génération dit m… à la tienne [ cabaret polémique ]

Dimanche 5 novembre à 18h30

Faut-il encore embrasser les grands-mères, tuer les pères, rester de son temps et marteler que la jeunesse a tort ? La sagesse de l’âge est-elle parfois utile à celleux d’après ?
Faut-il obligatoirement se comporter en héritier quand on nous confie un legs ?
Quels fantômes généalogiques nous tourmentent d’une descendance à une autre ?
À qui la faute si nous en sommes là ?
Scrutons-nous un instant dans nos secousses générationnelles.
Car il suffit parfois d’une branche ajoutée à l’arbre pour que toute la forêt se redessine.

Lors de ce cabaret transatlantique, nous examinerons ce qui constitue, mue, disloque ou réunit les différentes échelles du temps adulte, dans les mots de leurs dignes représentant·es. Il s’agira d’identifier où se tisse le commun à travers des portraits subjectifs, des procès de bonne foi, des utopies naissantes ou lasses, des envies ou pas d’un ensemble, d’un mieux partagé.

Chaque génération avancera ses arguments en paroles binômes proférées par des Québécois·es et des Français·es, histoire de percevoir si les embarras sont les mêmes, que les racines poussent sur le vieux ou le nouveau continent.

 

 

 

 

 

 

 

©Joseph Banderet
Durée : 1h45
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif Entrée libre
Tarif réduit Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs
Associations, groupesà partir de 6 personnes
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s)
Samedi 4 novembre à 20h

C’est l’histoire de Maddie, 19 ans, à qui un jour on a dit qu’elle était trop radicale.
C’était à la cafétéria du supermarché SUPERV où elle travaillait tout l’été.
C’est l’histoire du moment où on ne peut plus revenir en arrière.

Une jeune femme décide simplement de ne plus manger les gâteaux fourrés au chocolat d’une certaine marque. Une grande marque. Elle refuse, elle fait un choix. L’entreprise néglige ses employé.e.s, les patrons font des millions, les gâteaux sont de plus en plus chers, les gens qui les achètent ont de moins en moins d’argent, le déséquilibre est insensé.

C’est un début pour elle (peut-être, on ne sait pas).
Et son acte, pourtant minuscule, dérange (déjà).
Ce qui est un début pour Maddie semble extrême pour d’autres.

On est en droit de se demander si les réactions qu’elle reçoit ne sont pas aussi radicales ? Les prises de positions font-elles peur ? Sortir de la norme, du quotidien, de la bien-pensance, ça effraie ?

À ce moment-là Maddie a comme la tête qui tourne. Elle pourrait presque poser sa main sur la chaise qui est devant elle, pour sécuriser une chute imaginaire, mais rien. Pas de chute. Elle ne tombe pas, elle reste droite. Elle a peur de perdre ses mots, mais ils sont là, dans sa bouche, elle le sait.
Présentation du texte par l’auteur
Les autres vidéos de Raphaël Bocobza 
 

©Joseph Banderet
Durée : 1h10
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Festival 8e Festival du Jamais Lu Paris

La nuit m’avale – Coup de coeur Montréal

Samedi 4 novembre à 16h

C’est l’été, on suffoque. La nuit mange le ciel à grosses bouchées.
Milly, Julie-Julien et Caro, trois adolescentes écorchées, tentent de vivre avec le sentiment de vide qui brûle dans leur ventre.
Milly vomit sa haine dans son journal intime et cherche des façons de mourir sans vouloir mourir.
Caro est enceinte et vend de la drogue pour acheter une nouvelle vie à son bébé.
Julie-Julien flâne dans les ruelles pour passer le temps et sympathise avec les chats perdus.
Elles sont toutes les trois traversées par le besoin urgent d’exister selon leurs propres conditions.

JULIE-JULIEN. La nuit m’appartient
MILLY. La nuit t’appartient
Je penserais pas moi
JULIE-JULIEN. Pourquoi ?
MILLY. C’est comme mettre du ketchup sur une pointe de gâteau au fromage
Ça va pas ensemble
Toi, t’es le ketchup insignifiant
Pis la nuit, elle, une belle pointe de gâteau au fromage sexy
C’est pas un match qui fonctionne
JULIE-JULIEN. C’est ça qu’on va voir
Présentation du texte par l’auteure
Les autres vidéos de Kathleen Laurin-McCarthy 
 
 

La nuit m’avale a été lu une première fois au Jamais Lu Montréal en mai 2023.
©Joseph Banderet
Durée : 1h30
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Vendredi 3 novembre à 20h30

Suzanne est professeure de musique au collège. Elle mène une vie paisible dans une maison située sur le bord d’une crique à l’eau exceptionnellement fraîche.
La vie de Suzanne est bouleversée le jour où la destruction de la crique est annoncée. Une centrale nucléaire sera construite. Dans la région, un mouvement de contestation s’organise contre le projet. Mouvement massif qui, d’abord pacifique, se radicalise progressivement.
La pièce raconte l’histoire de ce mouvement du point de vue de Suzanne qui, de paisible citoyenne, va se transformer en militante acharnée. En bout de course, Suzanne pressera la détente.

MAIRE. Une grande nouvelle attend la commune Suzanne.
Le·la Président·e vient.
SUZANNE. Le·la Président·e ?
MAIRE. Oui Suzanne. Le·la Président·e. Il·elle vient dans la Commune. Vient dans la crique.
SUZANNE. Qu’est-ce qu’il·elle vient faire dans la crique ?
MAIRE. Un discours sur l’environnement. Le Palais Présidentiel veut un beau décor. Bonnes nouvelles à la clé pour la Région, pour la Commune.
Le Palais a repéré votre maison. Votre maison surplombe la crique. Vous voyez cette fenêtre, là. C’est cette fenêtre que les Renseignements ont repérée. Très bon poste pour un tireur d’élite.
SUZANNE. Les Renseignements ont repéré ma fenêtre ?
Présentation du texte par son auteur
 
 

 

  

 

 

©Joseph Banderet
Durée : 1h50
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€