Baptiste Mayoraz

Baptiste Mayoraz entame à l’âge de 5 ans des études de violon puis de théâtre au conservatoire de Sion, explorant nombre de styles musicaux et acquérant en autodidacte une bonne maîtrise de plusieurs instruments. Il réalise et interprète les musiques originales du Cercle de Craie Caucasien de Brecht (2014), du Guillaume Tell de René Zahnd par la Compagnie Marin et Nova Malacuria (2015), de Dracula (2017) ainsi que de Don Quichotte (2019), tous deux pour Nova Malacuria. Il interprète la musique de Van Gogh, Si près de la Nuit, avec la Cie Hussard de Minuit (2018), créé à Sion et tourné en Suisse Romande. Il découvre le monde de la marionnette au sein de la Cie Héros Fourbus et collabore en tant que musicien et marionnettiste à la reprise de Tiempos (2018) et à la création de Dream (2018).

Il se forme au chant lyrique aux conservatoires de Sion et de Fribourg. On a notamment pu le découvrir en Ajax Ier dans La Belle Hélène (2018) avec Ouverture Opéra et on pourra l’entendre en Jésus dans la Johannes-Passion (2020) mise en espace par l’Ensemble Vocal de Saint-Maurice sous la direction de Charles Barbier.

Sa recherche artistique et personnelle le mène à découvrir la dramathérapie, l’utilisation des outils du théâtre à des fins psychothérapeutiques. Il est actuellement en formation à l’Institut dramatherapie.ch, à Saint-Gall. La jonction de ses activités de comédien et de dramathérapeute l’amène à collaborer avec la compagnie CATATAC, notamment dans Alice revisited (2019), co-produit par le théâtre de VIDY-Lausanne et le TLH-Sierre. Il est actuellement comédien permanent au Préau CDN de Vire et à notamment joué dans la pièce Au-delà du premier kilomètre écrit et mis en scène par Adrien Cornaggia et Julie Ménard.

 

Maj 10/06/22

Léopoldine Hummel

Léopoldine Hummel a fait des études de musicologie, de piano et de chant lyrique. Elle pratique une multitude d’instruments, dont le piano, l’accordéon, la flûte traversière, la fuyara (flûte slovaque), la contrebassine et la wash-board (planche à laver musicale). Diplômée de l’Ecole Supérieure d’Art Dramatique de la Comédie Saint-Etienne, elle joue depuis 2009 sous la direction de : Rémy Barché, Gilles Bouillon, Chloé Brugnon, Guillaume Dujardin, Gilles Granouillet, Clémence Gross, Damien Houssier, Charly Marti, Raphaël Patout, José Pliya, Jean- Michel Potiron, Simon Vincent.

Elle est par ailleurs comédienne permanente du Festival des Nuits de Joux et du Festival des Caves, dirigés par la compagnie Mala Noche.

Elle écrit la musique de pièces de théâtre. Depuis 2010, elle chante sous le nom de LÉOPOLDINE HH. Son premier album « Blumen im Topf » est sorti en 2016, il a remporté le coup de cœur de l’académie Charles Cros ainsi que le Prix Moustaki 2017.

En 2018-19 elle joue dans La Chambre Désaccordée de Marc Lainé et dans On voudrait revivre d’après Gérard Manset, mise en scène Chloé Brugnon. Elle poursuit sa collaboration avec Marc Lainé autour de sa pièce Nosztalgia Express et vient de sortir son deuxième album composé à partir de textes de Gildas Milin : Là, lumière particulière.

 

Maj 10/06/22

Roxanne Roux

Roxanne Roux est diplômée du Conservatoire national supérieur d’art dramatique en 2017, après une Licence en Lettres Modernes et une formation au Susan Batson Studio – New York, au cours Florent.

Elle a joué sous la direction de Delphine Slakin dans Splendeur de Abi Morgan, Claudia Stavisky dans La Place Royale de Pierre Corneille, Justine Heyneman dans La Dama Boba ou celle que l’on trouvait idiote de Felix Lope de Vega, Clément Hervieu-Léger dans Impromptu 1663 Molière et La Querelle de l’Ecole des Femmes, Didier Long dans Le plus heureux des trois et Gretel Delattre dans Obaldia ! Obaldia !.

Elle a également travaillé avec la chorégraphe de Josette Baïz dans Un monde presque parfait et Zoom ainsi qu’avec Jean-Claude Gallotta dans 3 générations. Au cinéma, elle a joué dans La Solitude des sommets de David Bertram, le court métrage Rosie de Sébastien Roman (2011l et le moyen métrage Oh New York de Jesse Russel (2016).

En 2021 et 2022 elle joue sous la direction de Lorraine de Sagazan dans L’Absence de père, Une maison de poupée et dans la pièce Mater Orba. En 2023, elle jouera dans Ahouvi de et mis en scène par Yuval Rozman.

 

Maj 14/06/22

Stéphanie Aflalo

Auteure, metteure en scène, comédienne et musicienne, Stéphanie Aflalo intègre le Studio théâtrale de Vitry-sur- Seine où elle suit tour à tour les enseignements de Florian Sibon, Nadine Darmon et Jean-Louis Jacopin, grâce auxquel·le·s elle participe à la création de nombreux spectacles au Lavoir Moderne Parisien. En 2011, elle intègre directement la 3ème année du cours Florent.

Parallèlement à ses études théâtrales, Stéphanie Aflalo poursuit des études de philosophie à distance, consacrant ses mémoires à Nietzsche et à Bataille.

Avec Maya Peillon, elle fonde la compagnie GINA VNAUS, au sein de laquelle elle monte deux spectacles à La Loge en 2014 et Histoire de l’ Œil d’après Georges Bataille en 2017. En tant que comédienne, elle joue sous la direction de Marion Chobert, Milena Csergo, Hugo Mallon, Bruno Baradat, Grégoire Schaller (Crash, co-mis en scène avec Florian Pautassso), Yuval Rozman (Tunnel Boring Machine, The Jewish Hour, Ahouvi), et Florian Pautasso (Quatuor Violence, Incroyable Irraisonné Impossible Baiser, Flirt, Tu iras la chercher, Notre Foyer, Loretta Strong, Les Perdants, Zoo).

En tant que metteure en scène elle monte Graves épouses/ animaux frivoles d’Howard Barker, Lettres Mortes (lettres d’internés psychiatriques et derniers mots de condamnés à mort), et le solo Jusqu’à présent, personne n’a ouvert mon crâne pour voir s’il y avait un cerveau dedans, inspiré de la philosophie de Wittgenstein, crée en février 2022 au Cabaret de curiosités du phénix, Valenciennes.

 

Maj 14/06/22

Gaël Sall

Gaël Sall est issu d’Acting International sous la direction de Robert Cordier, ainsi que du Conservatoire du 10ème arrondissement de Paris.

Ancien boxer de haut niveau, il joue régulièrement dans les performances et films de Cesar Vayssié (UFE unfilmévénement, NE TRAVAILLE PAS) ou encore d’Yves-Noël Genod. Il a également joué dans le film La Belle Epoque de Albert Tudieshe.

Il signe la co-mise en scène avec Maurin Ollès de Jusqu’ici tout va bien et joue en 2017 dans Tunnel Boring Machine de Yuval Rozman. Gaël Sall a également travaillé avec Robert Wilson et CocoRosie pour leur dernier projet Jungle Book, à l’initiative du Théâtre de la Ville de Paris crée en avril 2019 au Théâtre de la Ville de Luxembourg. En 2020, il joue dans The Jewish Hour de Yuval Rozman, en 2021 dans Vers le spectre de Maurin Ollès (prix des lycéens et du public du festival Impatience 2021) et en 2023 il sera présent sur le plateau de la prochaine création de Yuval Rozman, Ahouvi.

 

Maj 14/06/22

Orane Lemâle

Après deux ans de classe préparatoire littéraire spécialité théâtre, elle obtient une licence d’études théâtrales à l’université Toulouse II Jean Jaurès. L’année suivante, elle intègre le conservatoire régional de Toulouse pour cinq ans. Elle en sort diplômée en 2019 à l’issue du cycle d’orientation professionnelle, où elle amorce une recherche personnelle mêlant théâtre et musiques aventureuses et bruyantes. 

Elle travaille aujourd’hui au sein de la compagnie cévenole Zapping Sauvage avec [Vivariums], pièce déambulatoire explorant les rapports entre humanité et invertébrés. Elle co-crée également à Toulouse le collectif Sonner dans les roches, réuni pour Ruminescence, spectacle autour des effets de la mémoire traumatique, suite à une agression sexuelle. 

En 2020, elle collabore à la création de La Vision des choses de Lydie Tamisier, mis en scène par Marie Demesy.
En 2021 elle participe en tant qu’actrice à la création de TRIGGER WARNING (lingua ignota) de Marcos Caramés-Blanco, par Maëlle Dequiedt.
En 2022 elle met en scène Ce qui m’a pris du même auteur, aux Anciens Abattoirs de Mons en Belgique.

 

Maj 10/06/22

Lucas Faulong

Lucas Faulong se forme en tant qu’acteur au Conservatoire de Lyon puis intègre en 2018 la Manufacture – Haute Ecole des Arts de la scène de Lausanne. Il travaille notamment avec Francois Gremaud, Gabriel Calderon, Jonathan Capdevielle, Marie-José Malis, Amir Reza Koestani, Elina Lowensohn, Bruno Meyssat ou encore Oscar Gomez-Mata.

En 2021, il joue dans Sur la voie royale d’Elfriede Jelinek, mis en scene par Maya Bosch (La Commune – CDN d’Aubervilliers, Le Manège – scène nationale de Maubeuge, Les Halles – théâtre de Sierre) et dans TRIGGER WARNING (lingua ignota) de Marcos Caramés-Blanco, mis en scène par Maëlle Dequiedt (Cie La Phenomena).

En 2022, il est en résidence à La Colline – théâtre national avec Marcos Caramés-Blanco dans le cadre de la bourse de résidence d’artistes. Il joue également dans Gloria Gloria du même auteur mis en scène par Sarah Delaby-Rochette dont une première étape de création est présentée au festival JT22 à Paris.

Au cinéma, il tourne dans Conan la Barbare, prochain film de Bertrand Mandico, et L’Arche de Noé de Bryan Marciano. Il joue par ailleurs dans divers courts-métrages dont La Renarde de Coline Confort (sélectionné au Niff) et The Life Underground de Loic Hobi (sélectionné au festival de Locarno, FIFIB, Swiss Film Award).

 

Maj 10/06/22

Rosalie Comby

Née dans le Jura d’une famille de comédien·ne·s, Rosalie Comby commence le théâtre au lycée puis intègre l’Ecole Régionale d’Acteurs de Cannes (ERACM) en 2014, entre Cannes et Marseille où elle collabore notamment avec Gérard Watkins, Ludovic Lagarde, Simon Delétang et Emma Dante.

À sa sortie en 2017, elle rejoint le Théatre Dijon Bourgogne en contrat professionnel où elle interprète le rôle de Lisette dans Le jeu de l’amour et du hasard de Marivaux, sous la direction de Benoît Lambert et le rôle de Mia, dans le texte Inoxydables de Julie Menard mis en scène par Maëlle Poesy. Elle collabore avec Ann Guillaume pour le film « I CAN SWIM HOME », avec Clément Schneider pour le court métrage « La dernière douane » et rejoint en 2020 la compagnie Du jour au lendemain pour la création de La dispute, sous la direction d’Agnès Regolo.

En 2021, elle crée avec le collectif Station 24 et sous la direction artistique de Marie Levy le spectacle Le corps des autres, d’après le livre éponyme d’Ivan Jablonka et le documentaire de Delphine Seyrig « Sois belle et tais-toi ».

 

Maj 31/05/22

Wanjiru Kamuyu

Wanjiru Kamuyu, née à Nairobi au Kenya, est titulaire d’un Masters of Fine Arts de l’Université de Temple (Philadelphie, USA). Installée à Paris depuis 2007, elle a débuté sa carrière à New York. En tant que danseuse, elle a notamment développé une activité riche et diverse qui a influencé sa voie chorégraphique et pédagogique.

Entre New York et Paris, en tournée internationalement, elle a travaillé avec des chorégraphes contemporains tels que Jawole Willa Jo Zollar, Molissa Fenley, Okwui Okpokwasili, Dean Moss, Nathan Trice, Tania Isaac, Anita Gonzales, Bill T. Jones, Irène Tassembedo, Robyn Orlin, Emmanuel Eggermont, Nathalie Pubellier, Stefanie Batten Bland ou encore Bartabas. Pour les comédies musicales, elle a collaboré avec Jérôme Savary (À la recherche de Joséphine) et Julie Taymor (Le Roi Lion), pour le cinéma avec le réalisateur Christian Faure (Fais danser la poussière). Plurielle et diversifiée, sa danse l’a amenée à travailler avec Jean-Paul Goude.

En tant que chorégraphe, Wanjiru Kamuyu s’engage pour la cause des réfugié·e·s avec des projets développés pour le Neworld Theatre (USA) et l’Euroculture (projet pour 65 jeunes artistes et 11 réfugié·e·s du Soudain, de Syrie, de Libye et d’Afghanistan).

Elle réalise des commandes pour le metteur en scène Jérôme Savary (À la recherche de Joséphine (Baker)), Hassane Kassi Kouyaté (Maître Harold), Jean-François Auguste (Love is in the Hair), ou encore pour des départements de danse dans différentes universités aux États-Unis et pour des compagnies de danse et de théâtre.

En tant que regard extérieur elle participe aux projets des chorégraphes de Bintou Dembele / Cie Rualité (Z.H., Paris) et de la conteuse/danseuse Nathalie La Boucher (La Chevauchée du Gange, Paris).

Les œuvres de sa compagnie WKcollective ont été présentées internationalement : aux États-Unis, en France, en Italie et en Irlande, au Burkina Faso, en Afrique du Sud, au Rwanda et au Mozambique. Ses créations ont été développées à travers des résidences en France, en Irlande et aux Etats-Unis.

Wanjiru Kamuyu est titulaire d’un Masters of Fine Arts de l’Université de Temple (Philadelphie, USA) s’engage dans des actions éducatives et pour la formation de danseurs en Europe, en Amérique du Nord ainsi qu’en Afrique et dirige régulièrement des résidences de formations dans les départements de danse des différentes universités états-uniennes, comme les programmes de danse Alvin Ailey American Forhdam University et University of South Florida Dance in Paris.

 

Maj 09/05/22

Marion Verstraeten

Formée au conservatoire national de région de Poitiers, Marion Verstraeten intègre la promotion 4 de l’Académie théâtrale du théâtre de l’Union en 2003. Elle joue notamment dans les créations de Michel Didym et Pierre Pradinas. 

En parallèle de ses activités avec la compagnie Jakart qu’elle co-fonde en 2005, elle travaille avec plusieurs compagnies du Limousin comme La Poursuite, la compagnie du Désordre, le Théâtre en Diagonale et la compagnie du Dagor.

Elle travaille régulièrement à la Mousson d’Été. En 2011 et 2012, elle se consacre aux créations du collectif Jakart avec Villégiatures de Goldoni et l’adaptation du roman de Cortazar Les Autonautes de la Cosmoroute, joué au théâtre de la Colline. En 2013, elle collabore avec David Lescot dans Les Jeunes au théâtre de la Ville, et aussi pour la première version du texte Buffles avec Edouard Signolet à Théâtre Ouvert. Elle poursuit ensuite sa collaboration avec des metteur·se·s en scène comme David Lescot, Laurent Hatat, Alice Laloy et Cécile Backes. 

 

Maj 06/05/22